Les acteurs économiques, privés et publics, sont aujourd’hui confrontés dans leurs activités à trois changements majeurs. La mondialisation de l’économie, tout d’abord, bouleverse la division internationale du travail et ouvre tous les marchés aux risques de l’hyper concurrence. La révolution numé- rique, ensuite, modife en profondeur les organisations, les modes de travail, le rôle de l’information et de de la connaissance et les modèles d’affaires. Enfn, la prédominance des normes juridiques, techniques et des bonnes pratiques dans la régulation des rapports de force économiques conditionne toujours plus largement l’accès aux marchés.
L’intelligence économique repose sur trois piliers interdépendants :
Le premier, la veille, consiste dans la mobilisation de méthodes et d’outils de surveillance destinés à détecter et analyser les informations et les évène- ments pertinents relatifs à l’activité des marchés et des parties prenantes qui les animent : occasions d’affaires, menaces, risques, clients, concurrents, fournisseurs, sous-traitants, ONG, organisations de normalisation, administrations, politiques. Concernant les Chambres consulaires plus particulièrement, outre leurs propres veilles, elles ont pour mission de développer des services de veille produits, marchés, normatives, techniques, pour leurs ressortissants.
Le second pilier, l’infuence : l’entreprise, comme les Chambres consulaires, met en œuvre des stratégies d’infuence destinées à orienter l’action des acteurs du marché et du territoire, les rivalités concurrentielles et la coopération en faveur de ses intérêts individuels et collectifs.
La sécurité économique enfin : l’entreprise est confrontée sur ses marchés à l’intelligence économique de ses concur- rents. Elle doit intégrer à sa stratégie un processus de sécurité économique comprenant la surveillance et la protection. L’approche que nous proposons ici n’écarte aucune catégorie d’entreprises, indépendamment de leurs tailles, secteurs d’activité, marchés, technologies et surtout nous défnissons l’entreprise, comme une entreprise en réseau, intégrant ses parte- naires, prestataires, sous-traitants, publics, privés.
Nous positionnons la maîtrise de l’intelligence économique comme déterminant de la viabilité de l’entreprise, de sa stratégie et de son management. Cela suppose donc que l’intelligence économique soit articulée avec les autres fonctions de l’entreprise, innovation, fnances, production, marketing, commerciale, ressources humaines.
L’intelligence économique repose sur trois piliers interdépendants :
Le premier, la veille, consiste dans la mobilisation de méthodes et d’outils de surveillance destinés à détecter et analyser les informations et les évène- ments pertinents relatifs à l’activité des marchés et des parties prenantes qui les animent : occasions d’affaires, menaces, risques, clients, concurrents, fournisseurs, sous-traitants, ONG, organisations de normalisation, administrations, politiques. Concernant les Chambres consulaires plus particulièrement, outre leurs propres veilles, elles ont pour mission de développer des services de veille produits, marchés, normatives, techniques, pour leurs ressortissants.
Le second pilier, l’infuence : l’entreprise, comme les Chambres consulaires, met en œuvre des stratégies d’infuence destinées à orienter l’action des acteurs du marché et du territoire, les rivalités concurrentielles et la coopération en faveur de ses intérêts individuels et collectifs.
La sécurité économique enfin : l’entreprise est confrontée sur ses marchés à l’intelligence économique de ses concur- rents. Elle doit intégrer à sa stratégie un processus de sécurité économique comprenant la surveillance et la protection. L’approche que nous proposons ici n’écarte aucune catégorie d’entreprises, indépendamment de leurs tailles, secteurs d’activité, marchés, technologies et surtout nous défnissons l’entreprise, comme une entreprise en réseau, intégrant ses parte- naires, prestataires, sous-traitants, publics, privés.
Nous positionnons la maîtrise de l’intelligence économique comme déterminant de la viabilité de l’entreprise, de sa stratégie et de son management. Cela suppose donc que l’intelligence économique soit articulée avec les autres fonctions de l’entreprise, innovation, fnances, production, marketing, commerciale, ressources humaines.