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Quand l'IA devient le cœur battant de la veille et de l'analyse.
Le Thème 1 révèle la puissance transformatrice de l'IA.
Imaginez, avec COEXEL, la possibilité de voir une technologie sélectionner des articles selon vos critères éditoriaux précis. Comme l'explique la source audio : "la firme sélectionne les articles dont elle spécifie la nature de son édito c'est-à-dire la tonalité, la taille de l'édito, la langue". Cette approche permet ensuite de contextualiser l'information, comme l'illustre l'exemple des levées de fonds : "moi mon édito j'aimerais qu'il mette en face sur les levées de fond et puis ensuite on peut le modifier, l'enrichir et et ça lui donne sa news sur cette brique là".
COEXEL ne s'arrête pas là, en offrant la possibilité d'optimiser l'analyse grâce à des instructions personnalisées : "chaque client peut préciser la façon dont il veut que son analyse soit traitée". Leur système s'appuie sur "une dizaine de pompes de pré-qualifiés" pour une analyse pointue des tendances et des recommandations. L'évolution vers des chats basés sur des bases de données vectorisées est une autre avancée marquante, permettant d'obtenir des réponses sourcées à partir des propres documents de l'utilisateur, se distinguant ainsi des modèles gratuits.
Du côté de Jamespot, l'innovation prend la forme des "Extrabots IA". Ces agents intelligents se présentent comme de véritables assistants virtuels pour les entreprises. Visualisez un commercial recevant en temps réel une analyse de son compte rendu, avec des "actions de suivi stratégiques..." proposées par l'IA. Pensez également à un collaborateur absent dont le statut est automatiquement signalé par un Extrabot, "afin de ne pas susciter d’attente ou d’incompréhension". L'IA devient ainsi un moteur d'efficacité au quotidien.
Imaginez, avec COEXEL, la possibilité de voir une technologie sélectionner des articles selon vos critères éditoriaux précis. Comme l'explique la source audio : "la firme sélectionne les articles dont elle spécifie la nature de son édito c'est-à-dire la tonalité, la taille de l'édito, la langue". Cette approche permet ensuite de contextualiser l'information, comme l'illustre l'exemple des levées de fonds : "moi mon édito j'aimerais qu'il mette en face sur les levées de fond et puis ensuite on peut le modifier, l'enrichir et et ça lui donne sa news sur cette brique là".
COEXEL ne s'arrête pas là, en offrant la possibilité d'optimiser l'analyse grâce à des instructions personnalisées : "chaque client peut préciser la façon dont il veut que son analyse soit traitée". Leur système s'appuie sur "une dizaine de pompes de pré-qualifiés" pour une analyse pointue des tendances et des recommandations. L'évolution vers des chats basés sur des bases de données vectorisées est une autre avancée marquante, permettant d'obtenir des réponses sourcées à partir des propres documents de l'utilisateur, se distinguant ainsi des modèles gratuits.
Du côté de Jamespot, l'innovation prend la forme des "Extrabots IA". Ces agents intelligents se présentent comme de véritables assistants virtuels pour les entreprises. Visualisez un commercial recevant en temps réel une analyse de son compte rendu, avec des "actions de suivi stratégiques..." proposées par l'IA. Pensez également à un collaborateur absent dont le statut est automatiquement signalé par un Extrabot, "afin de ne pas susciter d’attente ou d’incompréhension". L'IA devient ainsi un moteur d'efficacité au quotidien.
La complexité de l'IA générative : entre espoir et vigilance.
Le Thème 2 nous plonge au cœur d'une réflexion essentielle animée par des experts lors de la table ronde : "L'IA générative, menace ou alliée pour la veille et l'intelligence économique ?".
François JEANNE BEYLOT de Troover incarne la perspective de l'optimisme prudent, soulignant le "potentiel de l'IA pour améliorer la précision de la veille", tout en mettant en garde contre les "risques de désinformation" et insistant sur l'importance de l'anticipation.
Mickaël REAULT de SINDUP, fort de son expérience, a partagé des "cas pratiques où l'IA a été bénéfique pour la veille", transformant la manière dont les données sont collectées et analysées, tout en reconnaissant les défis liés à leur gestion et interprétation.
Rémi KIELBIK d'ADIT a apporté une vision opérationnelle, discutant de "l'intégration de l'IA et des compétences nécessaires pour les professionnels".
Enfin, Arnaud TUPINIER de CUREBOT a exploré les "innovations technologiques et les nouvelles compétences requises pour intégrer l'IA générative", offrant un panorama des évolutions à venir.
François JEANNE BEYLOT de Troover incarne la perspective de l'optimisme prudent, soulignant le "potentiel de l'IA pour améliorer la précision de la veille", tout en mettant en garde contre les "risques de désinformation" et insistant sur l'importance de l'anticipation.
Mickaël REAULT de SINDUP, fort de son expérience, a partagé des "cas pratiques où l'IA a été bénéfique pour la veille", transformant la manière dont les données sont collectées et analysées, tout en reconnaissant les défis liés à leur gestion et interprétation.
Rémi KIELBIK d'ADIT a apporté une vision opérationnelle, discutant de "l'intégration de l'IA et des compétences nécessaires pour les professionnels".
Enfin, Arnaud TUPINIER de CUREBOT a exploré les "innovations technologiques et les nouvelles compétences requises pour intégrer l'IA générative", offrant un panorama des évolutions à venir.
Face à la désinformation : un défi collectif.
Le Thème 3 met en lumière une bataille cruciale de notre époque.
Lors de la table ronde "La veille, victime collatérale de l'IA, touchée mais pas coulée !!!..", Sandra CHASTANET du CFC a soulevé un enjeu juridique majeur : "Avec l’automatisation des contenus, nous faisons face à des défis de taille : distinguer ce qui relève du domaine public et ce qui est protégé devient une tâche complexe et essentielle".
Mickaël REAULT de Sindup a nuancé le propos en voyant dans l'IA une alliée puissante : "Elle [l'IA] permet de traiter une masse d’informations colossale en un temps record, libérant ainsi les experts pour des analyses plus approfondies".
Mathieu ANDRO des Services du Premier ministre a rappelé l'impératif de sécurité : "Nous devons maintenir un équilibre entre innovation technologique et sécurité des informations". Enfin, Caroline DE LA VEZE du Parisien a exploré les opportunités pour les médias, tout en soulignant la nécessité de repenser la protection des contenus : "L’IA redéfinit nos pratiques de veille et de diffusion, mais elle nous pousse également à repenser la manière dont nous protégeons nos contenus".
Une autre table ronde, consacrée spécifiquement à la désinformation et aux fake news, a réuni des experts du monde de la défense. Pierre Carpe de Baillon du CEA, représentant un organisme historique créé par le Général de Gaulle, a souligné que "la désinformation n'est pas toujours volontaire et peut résulter de manipulations biaisées". Chloé Debiève du CICDE a apporté son expertise sur la "lutte informationnelle" et introduit le concept de "malinformation".
Caroline Rabourdin, chercheuse et consultante, a mis en lumière la "guerre de l'information dans le monde de l'entreprise", avec ses conséquences concrètes. Cléo Collomb de l'Université Paris- Saclay a introduit la notion de "guerre cognitive", ciblant la connaissance elle-même.
Face à ces défis, les intervenants ont insisté sur l'urgence d'un "engagement massif de la société" et du "renforcement de l'esprit critique".
Lors de la table ronde "La veille, victime collatérale de l'IA, touchée mais pas coulée !!!..", Sandra CHASTANET du CFC a soulevé un enjeu juridique majeur : "Avec l’automatisation des contenus, nous faisons face à des défis de taille : distinguer ce qui relève du domaine public et ce qui est protégé devient une tâche complexe et essentielle".
Mickaël REAULT de Sindup a nuancé le propos en voyant dans l'IA une alliée puissante : "Elle [l'IA] permet de traiter une masse d’informations colossale en un temps record, libérant ainsi les experts pour des analyses plus approfondies".
Mathieu ANDRO des Services du Premier ministre a rappelé l'impératif de sécurité : "Nous devons maintenir un équilibre entre innovation technologique et sécurité des informations". Enfin, Caroline DE LA VEZE du Parisien a exploré les opportunités pour les médias, tout en soulignant la nécessité de repenser la protection des contenus : "L’IA redéfinit nos pratiques de veille et de diffusion, mais elle nous pousse également à repenser la manière dont nous protégeons nos contenus".
Une autre table ronde, consacrée spécifiquement à la désinformation et aux fake news, a réuni des experts du monde de la défense. Pierre Carpe de Baillon du CEA, représentant un organisme historique créé par le Général de Gaulle, a souligné que "la désinformation n'est pas toujours volontaire et peut résulter de manipulations biaisées". Chloé Debiève du CICDE a apporté son expertise sur la "lutte informationnelle" et introduit le concept de "malinformation".
Caroline Rabourdin, chercheuse et consultante, a mis en lumière la "guerre de l'information dans le monde de l'entreprise", avec ses conséquences concrètes. Cléo Collomb de l'Université Paris- Saclay a introduit la notion de "guerre cognitive", ciblant la connaissance elle-même.
Face à ces défis, les intervenants ont insisté sur l'urgence d'un "engagement massif de la société" et du "renforcement de l'esprit critique".
Le CEA face à la désinformation : une perspective historique.
Le Thème 4 nous offre une plongée dans l'expérience du CEA face à la désinformation.
Pour Pierre Carpe de Baillon, dont l'organisme est "confronté à la désinformation depuis longtemps", notamment autour du nucléaire et de la COVID-19, il est essentiel de distinguer la "misinformation qui n'est pas toujours volontaire" de la "désinformation" plus intentionnelle. Il constate une "professionnalisation des oppositions" et souligne la difficulté de répondre efficacement dans l'ère numérique face à "l'asymétrie de l'information et l'érosion des corps intermédiaires".
Pour le CEA, l'enjeu majeur est de "renforcer la confiance du public" face aux débats scientifiques.
Pour Pierre Carpe de Baillon, dont l'organisme est "confronté à la désinformation depuis longtemps", notamment autour du nucléaire et de la COVID-19, il est essentiel de distinguer la "misinformation qui n'est pas toujours volontaire" de la "désinformation" plus intentionnelle. Il constate une "professionnalisation des oppositions" et souligne la difficulté de répondre efficacement dans l'ère numérique face à "l'asymétrie de l'information et l'érosion des corps intermédiaires".
Pour le CEA, l'enjeu majeur est de "renforcer la confiance du public" face aux débats scientifiques.
En conclusion
Documation 2025 s'est révélé être un événement riche en enseignements, où l'IA s'affirme comme une force motrice aux multiples facettes. Les échanges et les présentations novatrices, portés par des acteurs engagés, soulignent l'importance de comprendre et de maîtriser ces évolutions pour naviguer avec succès dans le paysage informationnel de demain.