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PartagerInterview : Romain Clémenceau de l'Apec Bordeaux
L’Apec Bordeaux représentée par Romain Clémenceau , l’Apec a plusieurs missions, développer des liens entre Paris et Bordeaux, tisser des liens avec les entreprises, les territoires et d’accompagner les futurs candidats à la reconversion dans le numérique pour des entreprises qui ont un grand besoin de compétences. Les compétences transversales (soft kills) sont des atouts pour entrer dans le numérique, scientifique, juridique, gestion de projets... Des formations peuvent compléter les parcours et permettre d’acquérir une expertise, et ce quelque soit l’âge, même après 50 ans. Ces formations sont parfois relativement courtes. Le marché de l’emploi est complexe, dur, mais leur expérience est précieuse et elle est un atout capital pour l’entreprise.
Interview : Advens Sébastien Francillon, Directeur Sud-ouest et Aquitaine.
Advens est une société française indépendante spécialisée dans le conseil et l’expertise en cybersécurité. Avec 200 personnes basées à Bordeaux, Lille, Paris, Lyon et Nantes, 30% de croissance annuelle et 300 clients actifs en France et à l’international, nous sommes le 1er pure player français de la cybersécurité.
L’objectif aujourd’hui est de recruter partout en Nouvelle Aquitaine. Deux lignes de croissances, la première de services unitaire (audit, intégration, réponse à incident), la deuxième ligne de service, les abonnements, déploiement d’outils et de compétences pour détecter les incidents. Nous accompagnons des PME, des Grands groupes du secteur public ou privé. Depuis 2020, nous sommes membres de l’UGAP.
« L’ère numérique transforme nos horizons et ouvre des voies innombrables pour développer nos entreprises, améliorer nos modes de vie et apporter des solutions concrètes aux défis de notre société … à condition de créer le halo de confiance qui favorise son essor. »
Depuis 10 ans, nous sommes en Nouvelle-Aquitaine, en 2019, il y a eut un virage et nous avons développé massivement notre présence sur le territoire. Nous souhaitons développer encore l’entreprise et multiplier par trois le nombre de salariés et de passer de 25 à 75.
Partenaire depuis la dernière édition du Vendée Globe (2016), Advens accompagne le skipper Thomas Ruyant dans sa conquête de l’Everest des mers : un tour du monde à la voile en solitaire, sans escale et sans assistance à bord d'un IMOCA à foils dernière génération, véritable concentré de nouvelles technologies. convaincu que l’entreprise doit prendre sa part dans la résolution des urgences sociales et environnementales et s’engager pour le bien commun, Advens a décidé et annoncé son choix en avril 2020 d’offrir la visibilité et le naming de son bateau à LinkedOut, un dispositif de la tech positive créé par l’association Entourage qui accompagne les personnes isolées et en précarité dans leur retour à l'emploi.
La volonté à travers ce geste fondateur ? Utiliser la puissance médiatique et la force mobilisatrice d’un grand défi pour sensibiliser le plus grand nombre (entreprises, associations, grand public) et les engager dans une véritable course au changement en faveur de l’inclusion !
Nous sommes aussi sur les questions de développement durable dans le domaine agricole.
En 2021, nous avons crée un fonds de dotation qui a vocation d’être responsable sur le plan environnemental et social. Nous avons ouvert depuis peu un bureau au Canada, puis en Asie.
L’objectif aujourd’hui est de recruter partout en Nouvelle Aquitaine. Deux lignes de croissances, la première de services unitaire (audit, intégration, réponse à incident), la deuxième ligne de service, les abonnements, déploiement d’outils et de compétences pour détecter les incidents. Nous accompagnons des PME, des Grands groupes du secteur public ou privé. Depuis 2020, nous sommes membres de l’UGAP.
« L’ère numérique transforme nos horizons et ouvre des voies innombrables pour développer nos entreprises, améliorer nos modes de vie et apporter des solutions concrètes aux défis de notre société … à condition de créer le halo de confiance qui favorise son essor. »
Depuis 10 ans, nous sommes en Nouvelle-Aquitaine, en 2019, il y a eut un virage et nous avons développé massivement notre présence sur le territoire. Nous souhaitons développer encore l’entreprise et multiplier par trois le nombre de salariés et de passer de 25 à 75.
Partenaire depuis la dernière édition du Vendée Globe (2016), Advens accompagne le skipper Thomas Ruyant dans sa conquête de l’Everest des mers : un tour du monde à la voile en solitaire, sans escale et sans assistance à bord d'un IMOCA à foils dernière génération, véritable concentré de nouvelles technologies. convaincu que l’entreprise doit prendre sa part dans la résolution des urgences sociales et environnementales et s’engager pour le bien commun, Advens a décidé et annoncé son choix en avril 2020 d’offrir la visibilité et le naming de son bateau à LinkedOut, un dispositif de la tech positive créé par l’association Entourage qui accompagne les personnes isolées et en précarité dans leur retour à l'emploi.
La volonté à travers ce geste fondateur ? Utiliser la puissance médiatique et la force mobilisatrice d’un grand défi pour sensibiliser le plus grand nombre (entreprises, associations, grand public) et les engager dans une véritable course au changement en faveur de l’inclusion !
Nous sommes aussi sur les questions de développement durable dans le domaine agricole.
En 2021, nous avons crée un fonds de dotation qui a vocation d’être responsable sur le plan environnemental et social. Nous avons ouvert depuis peu un bureau au Canada, puis en Asie.
Interview : Pierre Dudit et Arnaud Barrès de Games Partners
Games Partners, crée en 2018 par Pierre Dudit et Arnaud Barrès, issu du monde de la formation, elle s’est dirigée vers l’édition en 2020. Partant du constat que les jeux destinés au monde de la formation restaient sur des principes éculés, tant en termes de créativité, que d’esthétisme ou de mécaniques. Les jeux sérieux étaient restés sur des archétypes classiques sans apporter de nouveautés.
Ce décalage rendait l’expérience pauvre. Il fallait dépoussiérer cette approche. Nous avons voulu proposer de nouveaux jeux pouvant rivaliser avec cette nouvelle génération de jeux à destination du grand public, mais toujours destinés au monde professionnel. C’est à dire toujours produits en petites unités, voire faites sur-mesure, parfois complexe. Car si la dynamique est importante, si il faut passer un bon moment, la priorité demeure l’apprentissage, apprentissage d’un vocabulaire technique, de nouveaux comportements, d’une nouvelle manière de penser.
Le succès rencontré a retenu le monde de l’éducation et aujourd’hui, nous déclinons ces jeux ou les thématiques pour les adolescents et jeunes adultes. Le second enjeu pour nous, est de proposer une alternative, une respiration face aux mécaniques traditionnelles de formation, comme les cours en présentiel, et distanciel. Il est très difficile de faire revenir le public passif se former assister à un cours «scolaire » ou « universitaire », avec un intervenant et ses slides. Nous sommes en 2022 plus en 1980. Un petit frémissement se fait, « les jeux j’en veux bien ». Mais il faut que le « gaming » demeure acceptable.
Il ne faut pas que la racine du mot travail (le trepalium) et notre tradition judéo-chrétienne qui est très forte, qui utilise la culpabilité et la douleur persiste. Ce qui doit être important pour l’entreprise, c’est le résultat, et non le fait de se concentrer sur le chemin (forcément douloureux) qui doit être emprunté. Enfin, après des mois de covid et de travail a distance, a fait naître le besoin d’échanges et de convivialité.
Pendant deux ans, les gens ne se sont pas vu, les nouveaux arrivants n’ont pour l’essentiel pas rencontré tous leurs collègues en même temps. Développer un jeu de plateau, c’est aussi beaucoup moins cher qu’un développement e-learning, cela doit aussi être pris en compte. Se retrouver devant un plateau, est une façon de mettre du liant, de la sociabilité, sans enjeu, avec convivialité.
Ce décalage rendait l’expérience pauvre. Il fallait dépoussiérer cette approche. Nous avons voulu proposer de nouveaux jeux pouvant rivaliser avec cette nouvelle génération de jeux à destination du grand public, mais toujours destinés au monde professionnel. C’est à dire toujours produits en petites unités, voire faites sur-mesure, parfois complexe. Car si la dynamique est importante, si il faut passer un bon moment, la priorité demeure l’apprentissage, apprentissage d’un vocabulaire technique, de nouveaux comportements, d’une nouvelle manière de penser.
Le succès rencontré a retenu le monde de l’éducation et aujourd’hui, nous déclinons ces jeux ou les thématiques pour les adolescents et jeunes adultes. Le second enjeu pour nous, est de proposer une alternative, une respiration face aux mécaniques traditionnelles de formation, comme les cours en présentiel, et distanciel. Il est très difficile de faire revenir le public passif se former assister à un cours «scolaire » ou « universitaire », avec un intervenant et ses slides. Nous sommes en 2022 plus en 1980. Un petit frémissement se fait, « les jeux j’en veux bien ». Mais il faut que le « gaming » demeure acceptable.
Il ne faut pas que la racine du mot travail (le trepalium) et notre tradition judéo-chrétienne qui est très forte, qui utilise la culpabilité et la douleur persiste. Ce qui doit être important pour l’entreprise, c’est le résultat, et non le fait de se concentrer sur le chemin (forcément douloureux) qui doit être emprunté. Enfin, après des mois de covid et de travail a distance, a fait naître le besoin d’échanges et de convivialité.
Pendant deux ans, les gens ne se sont pas vu, les nouveaux arrivants n’ont pour l’essentiel pas rencontré tous leurs collègues en même temps. Développer un jeu de plateau, c’est aussi beaucoup moins cher qu’un développement e-learning, cela doit aussi être pris en compte. Se retrouver devant un plateau, est une façon de mettre du liant, de la sociabilité, sans enjeu, avec convivialité.
Interview : Sébastien Aufort, Maison de la Nouvelle-Aquitaine
Maison de la Nouvelle-Aquitaine, Sébastien Aufort directeur et Ambassadeur de la maison des territoires a pour mission de faire rayonner la Nouvelle-Aquitaine à Paris. La maison propose un centre d’affaires à des tarifs préférentiels pour les entreprises de Nouvelle Aquitaine. Elle propose régulièrement des événements. Des missions de promotions, de l’attractivité. Comment faire découvrir cette région très riche en savoir faire, et art de vivre. Il y a de nombreux secteurs professionnels en tension, la cybersécurité, le secteur agricole et en novembre sur la reprise d’entreprise, la santé et bien d’autres. Aujourd’hui on propose aux entreprises une occasion de recrutement aux potentiels néo-aquitains. De nombreux parisiens ou franciliens sont tentés de partir en région, l’effet TGV, le confinement, et le télétravail ont fait basculer ce qui était vu comme un phénomène de mode en tendance de fond durable. Les entreprises de Nouvelle-Aquitaine ont des atouts pour séduire des candidats talentueux en Île-de-France.
Interview : Thomas Limare d'Undergard
Undergard Thomas Limare Cabinet de recrutement présent sur toute la France, a pour but de mettre de futurs candidats en relation avec des entreprises. Undergard accompagne des clients finaux, c’est à dire non ESN, elle accompagne le candidat et l’entreprise sur le marché caché. C’est-à-dire de permettre au candidat de comprendre ce marché, de poser les bonnes questions, de définir un projet, de l’aider à se projeter dans l’avenir, à 5 ou 6 ans.
Sous l’angle recruteur, définir des budgets, des profils, de rédiger les annonces d’accompagner le processus de recrutement, afin d’éviter de générer de la frustration en identifiant pas la perle rare. Parfois privilégier le recrutement interne et aider les salariés à grandir. L’actualité a mis en avant la cybersécurité, elles sont devenues plus mâtures, les annonces sont plus précises, mais il y a encore du chemin à faire. Les formations sont récentes, il est donc difficile d’avoir des profils avec dix ans d’expérience. Mais on y travaille.
Sous l’angle recruteur, définir des budgets, des profils, de rédiger les annonces d’accompagner le processus de recrutement, afin d’éviter de générer de la frustration en identifiant pas la perle rare. Parfois privilégier le recrutement interne et aider les salariés à grandir. L’actualité a mis en avant la cybersécurité, elles sont devenues plus mâtures, les annonces sont plus précises, mais il y a encore du chemin à faire. Les formations sont récentes, il est donc difficile d’avoir des profils avec dix ans d’expérience. Mais on y travaille.
Pour aller plus loin :
- https://cybercercle.com/paroledexpert-mettre-fin-au-far-west-numerique-fera-il-reculer-la-desinformation-en-europe-une-tribune-de-thibault-renard-senior-advisor-du-cybercercle/
- https://entreprises.nouvelle-aquitaine.fr/actualites/une-feuille-de-route-pour-la-cybersecurite
- https://www.neoptimiste.fr/
- https://www.bases-netsources.com/articles-de-bases/google-et-les-professionnels-de-l-information-je-t-aime-moi-non-plus
- salaire du digital https://aravati.fr/les-salaires-du-digital-en-2020/
- https://veillecyberland.wordpress.com/