L’intelligence économique (IE) est aujourd’hui considérée comme une véritable
politique publique au service des intérêts des entreprises. Une politique de
sécurité économique, de compétitivité et d’influence, assise sur une mutualisation
des informations publiques et privées.
L’affirmation de l’IE comme politique publique porte – en temps de crise –
« l’urgente nécessité » de recourir à une relation de confiance accrue entre l’État et
l’Entreprise, en vue de renforcer la compétitivité et la sécurité de notre économie
afin de limiter notre dépendance et accroître le rayonnement et l’influence de la
France et de l’Europe.
L’intelligence présuppose de la capacité d’un individu, d’une organisation ou d’une
Nation à lier et hiérarchiser des contextes afin d’en dégager des logiques d’actions
(Ex : savoir discerner l’essentiel au coeur de l’important) dans le but de mieux utiliser
et faire évoluer l’environnement en fonction de ses forces et de ses atouts.
En temps de crise, les environnements sociaux, politiques, économiques et technologiques
produisent une succession de changements radicaux. Ceux-ci sont
générateurs de complexité par leurs aspects à la fois globaux, universels et parfois
irréversibles. L’élément déterminant réside dans le fait que ces changements sont
interactifs.
Face aux défis posés, nous sommes donc contraints de trouver des réponses globales
et systémiques tant les problématiques sont imbriquées, interconnectées et se
renforcent les unes les autres. Au sein d’un univers incertain, face à une réalité de
plus en plus immatérielle, une nouvelle vision et de nouveaux instruments de pilotage
s’imposent.
Au plan géoéconomique, cette nouvelle donne force à reconnaître combien il
serait vain d’espérer vouloir régler aujourd’hui les problèmes de demain avec les
solutions d’hier !
politique publique au service des intérêts des entreprises. Une politique de
sécurité économique, de compétitivité et d’influence, assise sur une mutualisation
des informations publiques et privées.
L’affirmation de l’IE comme politique publique porte – en temps de crise –
« l’urgente nécessité » de recourir à une relation de confiance accrue entre l’État et
l’Entreprise, en vue de renforcer la compétitivité et la sécurité de notre économie
afin de limiter notre dépendance et accroître le rayonnement et l’influence de la
France et de l’Europe.
L’intelligence présuppose de la capacité d’un individu, d’une organisation ou d’une
Nation à lier et hiérarchiser des contextes afin d’en dégager des logiques d’actions
(Ex : savoir discerner l’essentiel au coeur de l’important) dans le but de mieux utiliser
et faire évoluer l’environnement en fonction de ses forces et de ses atouts.
En temps de crise, les environnements sociaux, politiques, économiques et technologiques
produisent une succession de changements radicaux. Ceux-ci sont
générateurs de complexité par leurs aspects à la fois globaux, universels et parfois
irréversibles. L’élément déterminant réside dans le fait que ces changements sont
interactifs.
Face aux défis posés, nous sommes donc contraints de trouver des réponses globales
et systémiques tant les problématiques sont imbriquées, interconnectées et se
renforcent les unes les autres. Au sein d’un univers incertain, face à une réalité de
plus en plus immatérielle, une nouvelle vision et de nouveaux instruments de pilotage
s’imposent.
Au plan géoéconomique, cette nouvelle donne force à reconnaître combien il
serait vain d’espérer vouloir régler aujourd’hui les problèmes de demain avec les
solutions d’hier !