Décision Intelligence

Actualisation par l’approche neuroscientifique de la prise de décision en entreprise. Jean-Claude Possin nous répond...

Quelles sont pour les managers les avancées significatives en neurosciences qui en 2025 éclairent la prise de décision, l’innovation et la gouvernance managériale lors de la mise en place d’équipes managériales pluridisciplinaires ?


Jacqueline Sala
Lundi 13 Janvier 2025





Vers un management de différenciation , une compétence clé et un leadership nouveau

Selon les enseignements de la grille de Maslow,  le test de Weston Agor et la stratégie d’Harold Jack. Leavitt psychologue américain ,  professeur de sociologie du travail et des organisations énoncés dans l’ouvrage,  les décideurs sommitaux s’ouvriront aux réalités d’une nouvelle perspective de la prise de décisions [[1]] en entreprise, épure 2025 élargie aux réalités neuroscientifiques et à la « Neuro IE ».  
Alors, un management de différenciation , une compétence clé et un leadership nouveau apparaitront dans l’entreprise pour son plus grand profit et celui de ses cadres et salariés.
 

[[1]] Harold Jack. Leavitt -psychologue américain ,  professeur de sociologie du travail et des organisations - 1922-2007-, auteur de « Psychologie et Management » et pour  - les rectangles de Leavitt- 

Optimisation de l’efficacité managériale

Connaitre les avancées en neurosciences, comme la connaissance et la compréhension du cerveau biologique ouvrent des possibilités et des perspectives élargies – d’optimisation de l’efficacité managériale,  de compréhension et d’élargissement  intellectuel , de motivation, de  gouvernance d’entreprise  et de bien-être au travail pour tous les personnels de l’entreprise .
         
 Le test de Weston Agor et la stratégie d’Harold Jack. Leavitt concernant les spécificités et rôles respectifs des « deux cerveaux » pour constituer des équipes pluridisciplinaires de travail plus équilibrées et performantes comme le Système d’Intelligence Économique ou Stratégique d’Entreprise -(SIEE ou SISE) ou encore celui du « coordinateur et du groupe décisionnel », etc.   Ces avancées décrites dans l’ouvrage complètent le tableau des apports utiles Neuro- managériaux envisageables - ( se reporter au chapitre III et à l’annexe VI de l’ouvrage).

Concernant les approches neuroscientifiques il faut savoir que :

« Nous disposons de deux systèmes de pensée : l’un rapide, instinctif et l’autre délibératif. Comprendre leur interaction est essentiel pour prendre de meilleures décisions ».
                                                                                             Daniel Kahneman « dans  « Thiinking, fast an Slow ».

Capacité adaptative du cerveau à récupérer et à se restructurer en permanence

Ainsi les entreprises peuvent tirer parti de ces systèmes pour améliorer leur processus décisionnel, le management,  l’innovation et la créativité, etc. Les études démontrent que celles-ci découlent,  grâce aux cellules gliales,  d’une collaboration harmonieuse entre les deux hémisphères - cerveau droit et gauche   qui mobilisent les réseaux neuronaux impliqués dans la Mémoire et la Régulation émotionnelle, aspects  connus  sous le terme de « Neuroplasticité »,  qui est la capacité du cerveau à réorganiser  en permanence,  ses connexions neuronales  en fonction de » ses » acquis,  expériences  et apprentissages vécus.

C’est également la capacité adaptative du cerveau à récupérer et à se restructurer en permanence -(après les traumas, lésions, agressions diverses qu’il subit … mais aussi pour réduire l’impact des maladies neurodégénératives par exemple .  C’est ainsi que l’exposition à des environnements variés, agréables et stimulants améliorent les capacités créatives de chacun d’entre nous – ( EX :  Ambiance et conditions de travail, respect et considérations des personnels, , ergonomie des postes de travail,   conception architecturale des bâtiments chez Dyson, etc.)-.   
               -
  • La gestion des émotions,
     
  • La  « plasticité cérébrale » la formation, l’ apprentissage, une meilleure maitrise les biais cognitifs et de la « dissonance cognitive »,
- « Comprendre comment le cerveau traite les émotions peut limiter les « surcharges cognitives »,
 Matthew Lieberman –« The social Brain » écrit :
- « Comprendre le cerveau, c’est se donner les moyens de développer des environnements favorables à l’innovation et à la collaboration ».

Lire également de   Pierre-Marie Lledo   chercheur en neurosciences au CNRS « Le mangement par les neurosciences ».

« Talents cachés de votre cerveau au travail »

Source
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Ce qu’il faut encore impérativement retenir c’est que pour le Dr Bernard Anselem – neuropsychiatre - auteur des  « Talents cachés de votre cerveau au travail » Eyrolles -2019- « Le cerveau se nourrit du passé - [ des expériences vécues qu’il a mémorisées dans sa «  carte mentale » ]  pour prédire et anticiper l’avenir ».   Ainsi celui-ci modélise- de lui-même- ce qui peut advenir.  Il s’agit là d’une possibilité très importante - et scientifiquement démontrée)-en matière de prise de décision.

Pour parfaire vos informations se reporter à l’article du journal les Échos  « Neuro-leadership et management :  méthode SCARF ou la puissance du cerveau en entreprise. » -2008- dont l’objectif est d’amener les managers à connaitre et utiliser l’ensemble des approches neuroscientifiques en prenant conscience du rôle éminent du cerveau chez leurs salariés en actionnant  « 5 leviers » dits : « activateurs de menaces » de David ROCK neuroscientifique, article mis à jour le 12 décembre 2023.

 Nous rejoignons ici, s’ajoutant à l’ approche neuroscientifique ,   les préoccupations et prescriptions majeures décrites dans la grille de Maslow déjà citée et dont nous préconisons la connaissance et l’emploi en matière de relations humaines car « oublier que l’être humain n’est pas une machine et continuer de penser que les émotions n’ont pas leur place au bureau est une erreur ».

Rappels et conseils utiles pour les managers et chefs d’entreprises souhaitant utiliser l’approche neuro-managériale

Le but des travaux neuroscientifiques, ceux  du  Neuromanagement comme de la Neuro-intelligence Économique/Stratégique est de rappeler  l’importance des connaissances neuroscientifiques en matière de management   afin  de  donner des clés  nouvelles de gouvernances  adaptées et efficaces  aux managers  et dirigeants d’entreprises  afin  qu’ils puissent  les  mettre en pratique  en actionnant les leviers  neuropsychologiques et émotionnels   propres à chacun d’entre nous.

Exemple :  liens de cause à effet entre les facteurs cognitifs, contextuels, affectifs, émotionnels, de bien-être au travail… et les comportements individuels.

Ainsi, les managers mieux informés et formés aux neurosciences replacent l’humain et l’Intelligence émotionnelle au cœur de la gestion de leurs équipes. Tous les DRH en 2025 devraient pouvoir être formés à ces pratiques.
  •  Concernant le cerveau ce que nous devons également savoir  – pour l’essentiel se reporter  au Chapitre III et l’annexe VI de l’essai. Cela Concerne : la neurogénèse[[1]] qui est le - processus de formation des neurones à partir d’une cellule souche neuronale du système nerveux et qui , comme la plasticité cérébrale sont très importantes en matière de  « stimulation cognitive » pour maintenir et développer   par exemple la créativité chez l’adulte.

    De même nous devons savoir que pour Pierre marie Lledo   - déjà cité -
    « Le cerveau est capable de se remodeler tout au long de sa vie. Plus nous l’exerçons , plus il développe des capacités nouvelles ». 
Pour qu’il exerce pleinement ses talents il faut lui proposer des « challenges cognitifs », des formations continues et des environnements stimulants de travail. Les entreprises doivent encourager leurs équipes à explorer de nouveaux domaines pour développer une flexibilité mentale essentielle pour évoluer dans des environnements en perpétuel changements. Pour l’auteur Pierre Marie Lledo cité ci-dessus : «  La créativité est une gymnastique cérébrale qui nécessite des efforts constants et de la flexibilité mentale ».

Il faut savoir également qu’ il s’agit là de connaissances neuroscientifiques aujourd’hui avérées et - qu’en matière de décision par exemple « Notre cerveau est une machine à prédire l’avenir » . « L’ entrainement cognitif du cerveau en matière de prédiction se base sur des apprentissages-.  Il en tire des statistiques sur les possibilités que tel ou tel scenario se produise. Le cerveau se nourrit du passé [expériences mémorisées] pour prédire et anticiper l’avenir » confirme   le Dr Bernard Anselem,- neuropsychologue -.

En matière de neurosciences et de neuromanagement   il faut noter également   que « la créativité n’est pas un don, mais une compétence qui peut être cultivée [grâce ] à une gestion adaptée des processus créatifs » écrit Jean-Christophe Seznec et que  «  Stimuler l’innovation nécessite de comprendre comment le cerveau réagit aux défis et aux stimuli externes, et d’adapter la gestion en conséquence » poursuit David Rock.

Nous rejoignons ici, s’ajoutant à l’ approche neuroscientifique ,   les préoccupations et prescriptions majeures décrites dans la grille de Maslow déjà citée et dont nous préconisons la connaissance et l’emploi en matière de relations humaines car « oublier que l’être humain n’est pas une machine et continuer de penser que les émotions n’ont pas leur place au bureau est une erreur ».
 
 

[[1]] Se reporter dans l’ouvrage à l’annexe III sur la mésange américaine « Parus Atracapilus.

Conclusion

Ainsi les différentes ressources, approches et connaissances sur le cerveau biologique humain  fournissent aux managers d’entreprise qui maitrisent  les neurosciences   ,   des indications  précieuses , un cadre utile  et novateur pour intégrer celles-ci  en matière de gestion de l’innovation, de créativité comme de stratégie managériale  des processus de décision... Grace à ces savoirs neuroscientifiques ,  aujourd’hui avérés,  il ne s’agit plus d’adapter le cerveau au monde du travail mais l’inverse : adapter le monde du travail au fonctionnement du cerveau afin d’optimiser toutes ses potentialités.

Exemples d’entreprises utilisant ces approches 
 
En France :

Airbus : utilise les neurosciences pour les formations à la gestion du stress et en matière de leadership. Intégration des outils d’imagerie cérébrale pour optimiser les prises de décisions dans des environnements complexes.

Orange :  Collabore avec des laboratoires pour comprendre comment les biais cognitifs influencent les relations clients et concevoir des solutions plus adaptées.
 
À l’étranger :  

Google : utilise le programme -Search Insde Yourself- sur  « la neuroscience et la pleine conscience » pour améliorer la prise de décision et la performance.

Procter &Gamble : utilise les données neuroscientifiques pour comprendre les comportements d’achat et optimiser les décisions marketing -(Neuromarketing)-.
Neuroleadership Institue :  Basé aux États-Unis , cet institut propose des formations pour les entreprises en intégrant les avancées neuroscientifiques, etc.
But : en comprenant comment le cerveau traite l’information , les managers et les formateurs peuvent limiter les « surcharges cognitives » et prétendre à une meilleure gestion du stress.

Adapter le monde du travail au fonctionnement du cerveau afin d’optimiser toutes ses potentialités.

Ainsi les différentes ressources, approches et connaissances sur le cerveau biologique humain  fournissent aux managers d’entreprise qui maitrisent  les neurosciences,   des indications  précieuses , un cadre utile  et novateur pour intégrer celles-ci  en matière de gestion de l’innovation, de créativité comme de stratégie managériale  des processus de décision...

Grâce à ces savoirs neuroscientifiques ,  aujourd’hui avérés,  il ne s’agit plus d’adapter le cerveau au monde du travail mais l’inverse : adapter le monde du travail au fonctionnement du cerveau afin d’optimiser toutes ses potentialités.
Exemples d’entreprises utilisant ces approches 
 
En France :

Airbus : utilise les neurosciences pour les formations à la gestion du stress et en matière de leadership. Intégration des outils d’imagerie cérébrale pour optimiser les prises de décisions dans des environnements complexes.

Orange :  Collabore avec des laboratoires pour comprendre comment les biais cognitifs influencent les relations clients et concevoir des solutions plus adaptées.
 
À l’étranger :  

Google : utilise le programme -Search Insde Yourself- sur  « la neuroscience et la pleine conscience » pour améliorer la prise de décision et la performance.

Procter &Gamble : utilise les données neuroscientifiques pour comprendre les comportements d’achat et optimiser les décisions marketing -(Neuromarketing)-.

Neuroleadership Institue :  Basé aux États-Unis , cet institut propose des formations pour les entreprises en intégrant les avancées neuroscientifiques, etc.

En comprenant comment le cerveau traite l’information , les managers et les formateurs peuvent limiter les « surcharges cognitives » et prétendre à une meilleure gestion du stress.
 


 

Perspectives des travaux de recherches en cours…
 

Les outils d’investigation au service des scientifiques

Les recherches et découvertes permanentes en cours  comme  les travaux sur le cerveau et les neurosciences  progressent  chaque jour un peu plus  grâce à l’amélioration des techniques d’investigation du cerveau liées à l’IRMf – (imagerie par résonance magnétique fonctionnelle)- ,  au Scanner  -( tomographie,  tomodensitométrie, CT Scan) ,  à  l’EEG ( électroencéphalogramme) , la TEP ( Tomographie par émission de positons  -(scintigraphie-  le Pep scan) ,  La MEG –(Magnétoencéphalographie)  qui permet de visualiser les structures profondes du cerveau de manière plus précise que l’IRMf – (se reporter au chapitre III et à l’annexe VI de l’ouvrage)- .

Certaines de ces techniques d’imagerie ont vu récemment le jour , avec des échelles de résolutions de plus en plus précises qui sont utilisées pour la recherche fondamentale. Ces récentes avancées autorisent désormais le diagnostic des atteintes du système nerveux ( neurologique).

Ainsi aujourd’hui,  grâce aux neurosciences nous avons une compréhension approfondie des processus créatifs, décisionnels et innovants et nous savonsquels environnements mettre en place dans l’entreprise pour les stimuler –(espaces de travail : architecture, couleurs, ergonomie des postes et lieux de travail…)-.         De même , en s’inspirant des découvertes sur la neuroplasticité , les entreprises peuvent personnaliser et optimiser les formations de leurs personnels, les parcours professionnels et stimuler leur créativité.

Grâce aux connaissances révélées et acquises nous pouvons dès maintenant optimiser les processus de prise de décision. Les formations initiales et continues ,  l’apprentissage, les méthodes d’enseignement , de mémorisation,  de motivation – en utilisant les apports de la neuropédagogie par exemple , de la  prise de décision, de l’innovation .
Ceux-ci sont,  en 2025,  mieux analysés et compris. Les émotions ne sont plus considérées comme purement subjectives dorénavant leur rôle est mis en évidence dans des circuits neuronaux complexes et ainsi l’on peut déterminer le rôle important qu’elles jouent en matière de prise de décision.

Intérêts accrus, actuels et avérés de la connaissance du cerveau par des approches neuro-managériales notamment celles concernant l’IE-IS

Nos cerveaux sont câblés pour la sociabilité. Les décisions collectives efficaces nécessitent une connexion émotionnelle et cognitive »       David Rock - « Your Brain and Slow »

Voici quelques aspects à titre d’exemples

  •  Développer des algorithmes neuroscientifiques pour favoriser la prise de décision en temps réel,
  • Développer les liens entre neurosciences et IA générative pour améliorer la modélisation des systèmes experts d’aide à la décision en temps réel,
  • Utiliser de manière croissante les technologies comme l’EEG ou « de réalité virtuelle » pour les apprentissages et formation en entreprise,
  •  Comprendre l’importance d’une réelle prise de conscience managériale et l’intérêt grandissant concernant les apports liés à la connaissance du cerveau biologique et aux neurosciences en général ;
  •   Mieux détecter les « alertes de mise en garde » contre l’utilisation accrue et malveillante  des biais cognitifs[[1]]url:#_ftn1 de déstabilisation qui entravent  et influencent   négativement la prise de décision :  biais : « d’ancrage », de conformité, de disponibilité,  de représentabilité, d’optimisme , de statut quo, de cadrage , d’autorité, d’effet Dunning-Kruger  -( surestimation de ses propres  compétences)- des décideurs sommitaux, des veilleurs du SIEE/SISE  par des « officines » ou concurrents/compétiteurs peu scrupuleux  qui  identifient  et utilisent toutes « les fragilités psychologiques  et  faiblesses mentales »   afin de tromper ces derniers ou de vicier et d’altérer leur dispositif  des  « centres de décision »-  par l’utilisation  de systèmes tels que : –( le PM, la  Programmation neuro-linguistique- (PNL)-, la « palette » des biais et dissonances cognitives,   etc.
  • Avènement et utilisation croissante du « Neuromanagement », de la  «  Neuroéconomie » du Neuromarketing, de la Neuro IE-IS, de la Neuropédagogie, du Neuro droit, de la Neuro justice,  etc.
  • Meilleure prise de « conscience de soi et des autres », lucidité accrue et meilleures perceptions des environnements humains, sociaux et sociétaux…   sans omettre d’ « apprendre à penser contre soi », afin de corriger nos faiblesses, travers et défauts ;
  • Amélioration de la Gouvernance et de la stratégie d’entreprise par la constitution  « neuro-stratégique » d’ équipes  pluridisciplinaires de de travail comme  de  gouvernance d’entreprise –(stratégie)-, de traitement de l’information  par le -(SIEE/SISE)- , de la constitution d’équipes commerciales comme de production, de communication interne et externe à l’entreprise,  de « coordinateurs et de groupes décisionnels- had-ok-  », de  recherches  et   d’ apports de nouveaux équilibres au sein d’équipes managériale  ( Test Weston Agor et stratégie d’Harold Leavitt ),
  • Amélioration de la productivité en général,  de la célérité décisionnelle, de la détection précoce   de signaux émergents et d’ alertes  ,  d’analyse des risques et opportunités du ROI, etc.  
  • Reduction des erreurs de gouvernance et de jugement,-affectés par la méconnaissance du fonctionnement du cerveau biologique ,  de son rôle prédictif, des biais  et dissonances cognitives,  etc.
  •   La connaissance des neurosciences et du fonctionnement cerveau biologique permettent : une maitrise accrue , fiable et sérieuse du management des situations de stress, d’urgences et de crises en se dotant de moyens simples et pratiques pour y remédier,  
  •  La formation, l’acquisition et la maitrise de ses savoirs nouveaux stimulent et renforcent l’intérêt au travail ,  l’innovation,  la créativité, l’adaptabilité, la motivation et l’engagement des personnels formés en faveur de  leur entreprise -( fidélisation)-  les neurosciences aident à mieux comprendre les leviers neuropsychologiques  de la motivation ( dopamine, circuits de la récompense)…, les biais cognitifs, etc. – reporter au Ch.III , à l’annexe VI et à la bibliographie  - .
  • Optimisation du processus de décision individuel et collectif, meilleure appréciation du rôle de l’Intelligence émotionnelle,  des biais cognitifs, de l’importance du stress –(positive ou négative) – Cf se reporter au Ch. III de l’essai)- , du rôle de l’information notamment celui concernant  « l’élément déclencheur »,  etc.
  • Meilleure adaptation des formations initiales et continues dans les organisations,  
  • Meilleure appréciation et acceptation par les personnels de l’entreprise des informations nouvelles ,  des contraintes et décisions managériales qui s’imposent pour assurer la pérennité de l’entreprise face à  « ses » principaux concurrents/compétiteurs, etc.
  • Meilleure réceptivité,  compréhension et acceptabilité des connaissances et de l’exploitation des liens entre :  les neurosciences, l’intelligence systémique   - ( écosystèmes professionnels…) - ,  émotionnelle et  le rôle déterminant des algorithmes, de  l’intelligence artificielle générative  comme  des outils de prédiction des comportements décisionnels, etc.
Observation : cette énumération est loin d’être limitative !
 
[[1]]  Cf : Rapport McKinsey 2019 qui montre que ceux-ci peuvent coûter des millions aux entreprises mal informées.

Merci Jean-Claude Possin et rendez-vous très prochainement pour répondre à notre question : "Comment expliquez-vous le paradoxe entre des technologies et des sciences de plus en plus performantes, et une qualité de gouvernance des entreprises en constante dégradation comme le prouve la perte de confiance envers les instances représentatives ?"

Actualisation par l’approche neuroscientifique de la prise de décision en entreprise. Jean-Claude Possin nous répond...