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Bernard Besson vous offre son livre 1961. A Télécharger
Nous remercions Bernard Besson de nous offrir en pièce jointe, le PDF de l’ouvrage « 1961 » « cadeau comme il se doit pour tous les lecteurs de Veille Magazine et au-delà pour tous ceux ou celles qui seraient intéressés par le sujet».
Vous le savez, Bernard Besson est non seulement un spécialiste de l’Intelligence économique, mais il présente l’originalité d’être également l’auteur de plusieurs thrillers remarqués, notamment Main basse sur l’Occident et Groenland, ainsi que « Marina et les Dieux » dont il a fait une présentation pour Veille Magazine. Il est un représentant du roman d’espionnage à la française. Il tire sa légitimité des postes qu’il a occupés : ancien directeur de cabinet aux RG, puis à la DST, contrôleur général honoraire de la police nationale et expert en intelligence économique, il plonge le lecteur dans les arcanes les plus secrets et souvent les plus terrifiants des guerres de pouvoir du monde contemporain.
Nous lui avons demandé, en un premier temps, ce que le format romanesque lui permettait d’exprimer.
« Le roman historique permet de synthétiser à travers des personnages, la réalité complexe vécue lors de la chute du système soviétique.
Chef de cabinet du préfet Jacques Fournet alors directeur de la DST, j'ai eu connaissance de la façon dont le renseignement russe travaillait en France et en Europe occidentale.
Certains espions de Moscou voulaient rester chez nous où ils se trouvaient bien. Nous leur avons demandé de parler de leur quotidien, de la façon dont ils avaient pénétré les sphères décisionnelles françaises. Dans tous les domaines...
J'ai été surpris par le savoir-faire, l'habileté de ces hommes et de ces femmes. Il est hors de question de révéler leurs confidences qui concernent des Français mais aussi des Américains et certains de nos alliés...
« La fiction est un mensonge qui dit la vérité » rappelle Paul Auster. Ces quatre romans montrent le courage de Russes qui ne croyaient plus au communisme mais étaient d'authentiques patriotes. A l'heure où les Etats-Unis et la Russie s'affrontent par Ukrainiens interposés je m'aperçois que les fondamentaux du renseignement et de la guerre cognitive n'ont pas changé.
La tétralogie raconte aussi l'habileté des commissaires de polices et officiers des Renseignements généraux et de la DST qui firent un travail auquel j'ai tenu à rendre hommage. La France du général de Gaulle, leur doit beaucoup.
Je souhaite au monde et à mon pays des dirigeants aussi avisés et raisonnables que furent John Fitzgerald Kennedy et Nikita Sergueïevitch Khrouchtchev, deux vrais combattants de la Seconde guerre mondiale ayant connu le prix du sang. Ils apparaissent dans le respect le plus total des évènements historiques. »
Chef de cabinet du préfet Jacques Fournet alors directeur de la DST, j'ai eu connaissance de la façon dont le renseignement russe travaillait en France et en Europe occidentale.
Certains espions de Moscou voulaient rester chez nous où ils se trouvaient bien. Nous leur avons demandé de parler de leur quotidien, de la façon dont ils avaient pénétré les sphères décisionnelles françaises. Dans tous les domaines...
J'ai été surpris par le savoir-faire, l'habileté de ces hommes et de ces femmes. Il est hors de question de révéler leurs confidences qui concernent des Français mais aussi des Américains et certains de nos alliés...
« La fiction est un mensonge qui dit la vérité » rappelle Paul Auster. Ces quatre romans montrent le courage de Russes qui ne croyaient plus au communisme mais étaient d'authentiques patriotes. A l'heure où les Etats-Unis et la Russie s'affrontent par Ukrainiens interposés je m'aperçois que les fondamentaux du renseignement et de la guerre cognitive n'ont pas changé.
La tétralogie raconte aussi l'habileté des commissaires de polices et officiers des Renseignements généraux et de la DST qui firent un travail auquel j'ai tenu à rendre hommage. La France du général de Gaulle, leur doit beaucoup.
Je souhaite au monde et à mon pays des dirigeants aussi avisés et raisonnables que furent John Fitzgerald Kennedy et Nikita Sergueïevitch Khrouchtchev, deux vrais combattants de la Seconde guerre mondiale ayant connu le prix du sang. Ils apparaissent dans le respect le plus total des évènements historiques. »
“1961” de Bernard Besson est le premier tome d’une tétralogie qui comprend également les tomes 1962, 1963, et 1964
Cette série illustre les relations entre les dirigeants politiques et les services de renseignement à l’époque. Inspirés par d’authentiques espions, les personnages de fiction mettent en lumière l’importance des sources humaines et de l’analyse, en plus de l’interception des signaux. Voici un résumé du livre “1961” :
En janvier 1961, John Kennedy, à peine élu président des États-Unis, se retrouve face à un dossier délicat : l’assassinat de Fidel Castro et l’invasion de Cuba par la CIA. À Moscou, Nikita Sergueïvitch Khrouchtchev, bien informé, parvient à prévenir et sauver Fidel Castro. Le livre explore les enjeux politiques et les tensions internationales de l’époque, avec des personnages historiques tels que Kennedy et Khrouchtchev. Une intrigue captivante qui mêle espionnage, diplomatie et histoire.
En janvier 1961, John Kennedy, à peine élu président des États-Unis, se retrouve face à un dossier délicat : l’assassinat de Fidel Castro et l’invasion de Cuba par la CIA. À Moscou, Nikita Sergueïvitch Khrouchtchev, bien informé, parvient à prévenir et sauver Fidel Castro. Le livre explore les enjeux politiques et les tensions internationales de l’époque, avec des personnages historiques tels que Kennedy et Khrouchtchev. Une intrigue captivante qui mêle espionnage, diplomatie et histoire.
1962” est donc le deuxième tome de cette série.
Il nous plonge dans une période de tension internationale. Le monde est alors au bord du gouffre. Les Soviétiques pointent des missiles en direction des États-Unis depuis l’île de Cuba. Nikita Khrouchtchev et John F. Kennedy s’affrontent. La planète vit sous la menace d’une guerre nucléaire. À Washington, Gordon Blake, le chef de la NSA, ne parvient plus à décrypter les messages russes interceptés. Le président Kennedy se tourne alors vers de Gaulle, qui ne pourra pas refuser de prêter main-forte au monde libre.
Entre alors en jeu Otto Heinner. Cet ancien officier de la Légion étrangère que la France considère comme son meilleur traducteur, saura-t’il venir au secours d’une Amérique en proie à la panique ? Quels sont ses liens avec l’OAS et son rôle dans la guerre d’Algérie ? C’est la paix ou la guerre qui se joue dans ces heures terribles d’octobre 1962. Du bureau ovale de la Maison Blanche au Kremlin, des rues d’Alger à l’Élysée, Bernard Besson nous plonge dans l’œil du cyclone, là où se noue le destin du siècle et où se tissent les guerres de pouvoir, là où l’inconscience, le cynisme, la fièvre et le crime entraînent les hommes et les nations.
Entre alors en jeu Otto Heinner. Cet ancien officier de la Légion étrangère que la France considère comme son meilleur traducteur, saura-t’il venir au secours d’une Amérique en proie à la panique ? Quels sont ses liens avec l’OAS et son rôle dans la guerre d’Algérie ? C’est la paix ou la guerre qui se joue dans ces heures terribles d’octobre 1962. Du bureau ovale de la Maison Blanche au Kremlin, des rues d’Alger à l’Élysée, Bernard Besson nous plonge dans l’œil du cyclone, là où se noue le destin du siècle et où se tissent les guerres de pouvoir, là où l’inconscience, le cynisme, la fièvre et le crime entraînent les hommes et les nations.
Arrive logiquement “1963”.
Le monde respire après le dénouement de la crise des missiles de Cuba en 1962. Au Kremlin, Brejnev et ses amis vivent mal la reculade de Khrouchtchev face aux États-Unis. Pour rassurer Fidel Castro, le KGB imagine une opération destinée à savoir quelles sont les véritables intentions de John Kennedy car malgré les assurances de la Maison Blanche, les tentatives d’assassinat du leader cubain se poursuivent. À qui la CIA obéit-elle ? Que prépare la mafia ?
Gordon Blake, directeur de la NSA, est convoqué par le président. Il lui demande de préparer la destitution d’Edgar Hoover, le légendaire patron du FBI qui épargne la mafia mais espionne le personnel politique pour se maintenir en poste. Le président souhaite également se débarrasser de Lyndon Johnson, son vice-président, et en savoir plus sur ses activités au Texas. Écrasé par l’énormité de la tâche, le patron de la NSA demande à Otto Heinner, le chef de la division soviétique qui lui a permis d’anticiper les intentions soviétiques à Cuba, de l’aider.
Gordon Blake, directeur de la NSA, est convoqué par le président. Il lui demande de préparer la destitution d’Edgar Hoover, le légendaire patron du FBI qui épargne la mafia mais espionne le personnel politique pour se maintenir en poste. Le président souhaite également se débarrasser de Lyndon Johnson, son vice-président, et en savoir plus sur ses activités au Texas. Écrasé par l’énormité de la tâche, le patron de la NSA demande à Otto Heinner, le chef de la division soviétique qui lui a permis d’anticiper les intentions soviétiques à Cuba, de l’aider.
Voici enfin le 4ème tome “1964” qui explore les relations entre les dirigeants politiques et les services de renseignement à l’époque, en s’inspirant d’authentiques espions.
L’Amérique, traumatisée par l’assassinat de John Kennedy en 1963, se rassemble derrière Lyndon Johnson. À Moscou, Léonid Brejnev espère utiliser les informations que le KGB vient de lui fournir sur la tragédie de Dallas. Cependant, sa marge de manœuvre est limitée, car Nikita Sergueïvitch Khrouchtchev lui bloque la route vers le pouvoir suprême.
À la Maison Blanche, Lyndon Johnson convoque son ami Edgar Hoover. Il lui confie la mission de retrouver les deux artificiers français qui, en cas de pluie et de voitures couvertes dissimulant John Kennedy, étaient chargés de faire exploser le cortège sur le chemin du Trade Mart. Cette opération risquerait de tuer l’actuel locataire de la Maison Blanche, innocentant ainsi les rumeurs de complots qui l’accusent sans preuve mais à mots couverts.
Pendant ce temps, Otto Heinner, toujours sous-directeur à la NSA, reçoit l’ordre de son officier traitant de provoquer l’entrée en guerre des États-Unis au Vietnam. Le nouveau président, malgré les prédictions des experts de l’Est et de l’Ouest, ne semble pas pressé d’envoyer les troupes au combat. Lyndon Johnson est rusé et se souvient du désastre subi par les Français à Dien Bien Phu. Pour lui, il n’y aura jamais de guerre du Vietnam !
À la Maison Blanche, Lyndon Johnson convoque son ami Edgar Hoover. Il lui confie la mission de retrouver les deux artificiers français qui, en cas de pluie et de voitures couvertes dissimulant John Kennedy, étaient chargés de faire exploser le cortège sur le chemin du Trade Mart. Cette opération risquerait de tuer l’actuel locataire de la Maison Blanche, innocentant ainsi les rumeurs de complots qui l’accusent sans preuve mais à mots couverts.
Pendant ce temps, Otto Heinner, toujours sous-directeur à la NSA, reçoit l’ordre de son officier traitant de provoquer l’entrée en guerre des États-Unis au Vietnam. Le nouveau président, malgré les prédictions des experts de l’Est et de l’Ouest, ne semble pas pressé d’envoyer les troupes au combat. Lyndon Johnson est rusé et se souvient du désastre subi par les Français à Dien Bien Phu. Pour lui, il n’y aura jamais de guerre du Vietnam !
L’agent de Moscou, infiltré au sommet du pouvoir américain, doit relever un défi immense. D’autant plus que Edgar Hoover et le contre-espionnage de la CIA ont accumulé contre lui un faisceau d’indices graves et concordants.
