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Bernard Carayon, Changeons le monde aux Editions
« Changeons le monde » !
D’emblée, le député UMP du Tarn et maire de Lavaur étonne par le choix d’un titre que l’on pourrait croire issu d’un mouvement alternatif. Mais ceux qui connaissent quelque peu Bernard Carayon ne seront pas étonnés.
Car le fait est que l’homme ne s’est jamais senti à son aise dans la langue de bois et les idées convenues. La preuve. Illustrations et chiffres à l’appui, il entame une charge en règle contre une mondialisation inhumaine, hier porteuse d’espoirs, aujourd’hui d’illusions et de menaces. « Il y a des oubliés de la mondialisation comme il y a des soldats inconnus » commence t-il. Le ton est donné. « Nos sociétés, qui sont capables d’envoyer des hommes dans l’espace ou de trier, dans la seconde, par internet, des dizaines de milliers d’informations, n’ont pu anticiper la crise financière la plus terrible depuis 1929. »
Selon Bernard Carayon, nous sommes entrés dans l’ère des « nouveaux risques » et des « nouvelles pauvretés » : menaces sanitaires et environnementales globales, épuisement des ressources énergétiques, vieillissement des pays développés, compétition intellectuelle mondiale… De nouveaux riches ont fait leur apparition, qui pour certains dérogent aux lois du marché !
D’où la nécessité de redonner au politique la capacité de pilotage économique permettant de passer du libre-échange à de justes échanges. De même, et dans une perspective humaniste, le député appelle à retrouver l’économie réelle de l’industrie et des territoires, celle qui place l’homme au cœur du système économique. Il propose donc une politique volontariste et globale, seule en mesure d’anticiper les mutations d’un monde un peu fou.
D’emblée, le député UMP du Tarn et maire de Lavaur étonne par le choix d’un titre que l’on pourrait croire issu d’un mouvement alternatif. Mais ceux qui connaissent quelque peu Bernard Carayon ne seront pas étonnés.
Car le fait est que l’homme ne s’est jamais senti à son aise dans la langue de bois et les idées convenues. La preuve. Illustrations et chiffres à l’appui, il entame une charge en règle contre une mondialisation inhumaine, hier porteuse d’espoirs, aujourd’hui d’illusions et de menaces. « Il y a des oubliés de la mondialisation comme il y a des soldats inconnus » commence t-il. Le ton est donné. « Nos sociétés, qui sont capables d’envoyer des hommes dans l’espace ou de trier, dans la seconde, par internet, des dizaines de milliers d’informations, n’ont pu anticiper la crise financière la plus terrible depuis 1929. »
Selon Bernard Carayon, nous sommes entrés dans l’ère des « nouveaux risques » et des « nouvelles pauvretés » : menaces sanitaires et environnementales globales, épuisement des ressources énergétiques, vieillissement des pays développés, compétition intellectuelle mondiale… De nouveaux riches ont fait leur apparition, qui pour certains dérogent aux lois du marché !
D’où la nécessité de redonner au politique la capacité de pilotage économique permettant de passer du libre-échange à de justes échanges. De même, et dans une perspective humaniste, le député appelle à retrouver l’économie réelle de l’industrie et des territoires, celle qui place l’homme au cœur du système économique. Il propose donc une politique volontariste et globale, seule en mesure d’anticiper les mutations d’un monde un peu fou.
