Vision et contenu global de l’ouvrage : Observations préalables
Le Chapitre I a été consacré à la modélisation et aux structures actuelles du concept d’IE tel que nous l’avons conçu, enrichi et enseigné avec Bernard Besson depuis le rapport Martre 1994.
C’est le concept le plus souvent utilisé, l’épure pratique, qui demeure en place avec succès, parfois avec quelques variantes d’auteurs, d’experts ou d’enseignants dans de nombreuses entreprises et organisations qui en sont dotées.
Note pédagogique à l’intention de nos anciens élèves toujours attentifs, passionnés et avides de nouveautés
Le concept avec « ses » éléments fondamentaux et le cycle des « questions/réponses » fonctionne toujours et donne satisfaction. Néanmoins et nous le comprenons aisément, l’apport récent des sciences cognitives, du traitement de l’information avec les Data , des nouvelles architectures informatiques et informationnelles , de leur puissance, des algorithmes et des intelligences artificielles IA « faible » et « forte», de l’IA générative - chatGPT 3 et 4 - , de l’approche systémique, de l’avènement du neuromanagement, et maintenant avec cet essai, de la neuro-IE/IS nous imposaient de revisiter et d’enrichir le concept initial, de manière irrémédiable semble-t-il.
Il le fallait impérativement afin de tenir compte de l’exigence des nouvelles connaissances et savoirs que nous livrent aujourd’hui l’approche neuroscientifique . C’est aussi pour l’auteur, l’occasion de mieux préciser certaines définitions. Cet ouvrage « Intelligence décisionnelle et Cognition » signe une avancée pédagogique basée sur la connaissance du cerveau et les sciences cognitives en matière de prise de décision.
C’est avec l’introduction et l’utilisation de l’Intelligence systémique une rupture dans la formation et la pratique managériale de cette discipline au sein de l’entreprise. Nos anciens élèves devront donc réactualiser leur logiciel, leurs cours, rafraichir et enrichir leurs connaissances en matière de neurosciences cognitives, de neuromanagement, de neuro IE/IS et d’Intelligence systémique (I syt), notamment faute d’être dépassés ! Connaissant leur curiosité, leur ouverture d’esprit, pour beaucoup, leur passion, leur pratique et éveil permanents. Je ne doute pas qu’ils le fassent bon usage, avec lucidité et enthousiasme !
Note pédagogique à l’intention de nos anciens élèves toujours attentifs, passionnés et avides de nouveautés
Le concept avec « ses » éléments fondamentaux et le cycle des « questions/réponses » fonctionne toujours et donne satisfaction. Néanmoins et nous le comprenons aisément, l’apport récent des sciences cognitives, du traitement de l’information avec les Data , des nouvelles architectures informatiques et informationnelles , de leur puissance, des algorithmes et des intelligences artificielles IA « faible » et « forte», de l’IA générative - chatGPT 3 et 4 - , de l’approche systémique, de l’avènement du neuromanagement, et maintenant avec cet essai, de la neuro-IE/IS nous imposaient de revisiter et d’enrichir le concept initial, de manière irrémédiable semble-t-il.
Il le fallait impérativement afin de tenir compte de l’exigence des nouvelles connaissances et savoirs que nous livrent aujourd’hui l’approche neuroscientifique . C’est aussi pour l’auteur, l’occasion de mieux préciser certaines définitions. Cet ouvrage « Intelligence décisionnelle et Cognition » signe une avancée pédagogique basée sur la connaissance du cerveau et les sciences cognitives en matière de prise de décision.
C’est avec l’introduction et l’utilisation de l’Intelligence systémique une rupture dans la formation et la pratique managériale de cette discipline au sein de l’entreprise. Nos anciens élèves devront donc réactualiser leur logiciel, leurs cours, rafraichir et enrichir leurs connaissances en matière de neurosciences cognitives, de neuromanagement, de neuro IE/IS et d’Intelligence systémique (I syt), notamment faute d’être dépassés ! Connaissant leur curiosité, leur ouverture d’esprit, pour beaucoup, leur passion, leur pratique et éveil permanents. Je ne doute pas qu’ils le fassent bon usage, avec lucidité et enthousiasme !
Le chapitre II, un peu à la manière des ethnologues ...
...nous avons parcouru, débroussaillé et exploré à grandes enjambées l’essentiel des éléments, théories et écoles de pensée et modèles du spectre décisionnel et des méthodes multicritères et collégiales d’aide à la décision. La prise de décision y est apparue comme un préalable à toute forme d’action. Elle est fondamentale et la clé de voûte de toute institution. Chaque décision dessine un futur proche ou plus éloigné. Les recherches sur la prise de décision nous ont conduits à travailler sur le concept « d’intelligence décisionnelle » (ID).
Concept du traitement du processus de décision par l’IE/IS, les NTICCR, les modélisations mathématiques et statistiques, les sciences et neurosciences cognitives. Sans oublier les Data et l’intelligence systémique (note de bas de page 493).
Concept du traitement du processus de décision par l’IE/IS, les NTICCR, les modélisations mathématiques et statistiques, les sciences et neurosciences cognitives. Sans oublier les Data et l’intelligence systémique (note de bas de page 493).
Le chapitre III : s’appuie sur l’état des connaissances scientifiques...
...aujourd’hui communément admises et avérées en 2023/24 – il nous permet, en l’état actuel des sciences et neurosciences cognitives, d’éclairer notre compréhension et d’avancer sur un socle de connaissances neuroscientifique solide.
Les chapitres IV et V développent dans le détail le concept, l’approche méthodologique collégiale, collaborative et processuelle de la mise en place...
... dans une entreprise ou plus généralement d’une organisation de l’Intelligence Décisionnelle (ID) comme celui du Management décisionnel d’Entreprise (MDE). Ces chapitres définissent par ailleurs l’origine, l’évolution sémantique et le contenu des vocables IE, IES, IS, IPES, I Syst, ID… et ce que nous attendons de ceux-ci, en termes de contenu managérial. Le vocable d’Intelligence Stratégique (IS) y prend son entière dimension.
Le chapitre VI : Décider dans un monde numérisé : quid des dernières avancées scientifiques ?
De l’intelligence décisionnelle (ID) à la Neuro IE en passant par le « cerveau artificiel », l’analyse prédictive et l’IA générative… Quid aussi de la cohérence comme de la crise décisionnelle dans les entreprises ? Ce chapitre est illustré par de nombreux exemples d’entreprises, des ETI aux grandes structures…
Celui-ci est une synthèse qui ouvre, grâce à la sérendipité parfois, des perspectives intelligibles nouvelles et d’autres un peu plus futuristes. Ainsi, l’IE dans sa version originale décrite au chapitre I, mute progressivement au fil du temps, des chapitres et des pages de l’ouvrage pour devenir à travers le concept d’Intelligence Décisionnelle (ID) une véritable « Intelligence Stratégique de Gouvernance » (ISG)- (voir définition du chapitre IV)- au service de « l’organisation intelligente ».
Celui-ci est une synthèse qui ouvre, grâce à la sérendipité parfois, des perspectives intelligibles nouvelles et d’autres un peu plus futuristes. Ainsi, l’IE dans sa version originale décrite au chapitre I, mute progressivement au fil du temps, des chapitres et des pages de l’ouvrage pour devenir à travers le concept d’Intelligence Décisionnelle (ID) une véritable « Intelligence Stratégique de Gouvernance » (ISG)- (voir définition du chapitre IV)- au service de « l’organisation intelligente ».
Le Chapitre VII présente l’ère du décisionnel prédictif ...
...et s’achève avec les éléments -( non exhaustifs)- de la décision politique d’État. Conclusion de cet essai.
VIII - Les annexes du manuel
Le fiches sont au nombre de 8. , Elles sont à solliciter auprès de l'auteur.: jeanclaudepossin @gmail.com .
L'annexe VI : résume et cite les auteurs de cet ouvrage collectif " Votre cerveau n'a pas fini de vous étonner" - dont les propos et citations complètent , illustrent et précisent les idées neuroscientifiques essentielles développées au Chapitre III.
Fiches de synthèse que pour des raisons économiques vous découvrirez sur le site de l’auteur) sont au nombre de 8 – se reporter à la liste des annexes- elles - citent de grands spécialistes neuroscientifiques, leurs propos complètent, illustrent et précisent les idées et avancées neuroscientifiques essentielles développées dans le chapitre III de l’ouvrage.
Le concept d’ID, la méthodologie qu’il suggère ne se limite pas à l’entreprise ; celui-ci, comme le concept initial d’IE développé au chapitre I a une portée universelle qui peut s’étendre, se décliner et s’utiliser dans toutes les formes d’organisations : politiques, syndicales, économiques, financières, juridiques, normatives, territoriales, etc.
Du fait de nos lectures et des recherches effectuées dans les domaines de l’IE/IS, comme de l’Intelligence Politique et de l’État stratège -(IP-ES) - nous découvrons, des idées nouvelles et des « signaux émergents ou déclinants » qui apparaissent ici et là. Dès lors nous pensons que ceux-ci doivent toujours être pris en considération, retenus et exploités comme des alertes précoces, probables, possibles ou certaines à confirmer. En aucun cas ces signaux et indicateurs avancés ne sauraient être délibérément écartés, au prétexte qu’ils ne sont pas toujours aujourd’hui scientifiquement avérés. N’oublions jamais que la finalité de l’IE/IS est de toujours se situer « en amont » dans le domaine de l’anticipation et des idées émergentes.
Les lanceurs d’alertes, comme pour les auteurs de sciences fictions ceux-ci doivent être écoutés pour les uns et lus avec intérêt pour les autres ! Il n’était donc, pour nous, ni concevable et encore moins acceptable, par respect des lecteurs et ce cette nouvelle discipline de passer sous silence ou d’occulter un certain nombre d’informations avérées, mais également d’hypothèses, de considérations, de réflexions ou d’idées prospectives intéressantes (pensées, esquisses et réflexions , de travaux scientifiques en cours… qui resteront parfois à confirmer) comme des travaux d’auteurs livrant des idées neuves et inédites sur le sujet.
Une des difficultés actuelles de l’IE/IS/ID… Mais plus souvent encore en matière d’’Intelligence Politique -(IP) - dans de nombreux cas, secteurs et domaines économiques, sociaux, sociétaux, communautaristes , culturels…, en premier lieu et souvent dans celle de l’approche politique, est de discerner et de lutter contre les manipulations idéologiques de l’’Ingénierie sociale[[1]] qui aujourd’hui pervertissent, tronquent , morcellent, dénient , dévoient, dénaturent … ou interdisent l’analyse du réel. L’analyse des faits bruts et répétitifs. La multiplicité de faits divers, similaires, identiques ou voisins devient toujours, à termes, qu’on le veuille ou non, un fait de société -( Ex les féminicides)-. Or, ceux-ci ne peuvent objectivement être occultés.
Comme nous l’avons souligné précédemment en matière scientifique toutes ces approches et affirmations, si intéressantes soient-elles pour être irréprochables devront à termes, pour certaines d’entre elles, être scientifiquement validées. Actuellement, elles offrent d’ores et déjà des pistes, des vues prospectives, analogies intéressantes et des pistes de réflexion à méditer, à explorer avec un regard neuf. Elles devront être scientifiquement confirmées. Le souci permanent de chaque praticien de l’IE/IS/IP/ID… sera de toujours les valider. Leur présentation pédagogique actualisée et documentée permet de mieux comprendre et « cerner » ce que sont véritablement les concepts : de management ou de gouvernance compétitive, d’IE, d’IR, d’Intelligence Inventive (II), d’Intelligence sociale et sociétale (ISS), d’Intelligence Politique et d’État Stratège (IP/ES), d’Intelligence Systémique (I syst), d’ID et pour finir d’Intelligence Stratégique (IS).
L'annexe VI : résume et cite les auteurs de cet ouvrage collectif " Votre cerveau n'a pas fini de vous étonner" - dont les propos et citations complètent , illustrent et précisent les idées neuroscientifiques essentielles développées au Chapitre III.
Fiches de synthèse que pour des raisons économiques vous découvrirez sur le site de l’auteur) sont au nombre de 8 – se reporter à la liste des annexes- elles - citent de grands spécialistes neuroscientifiques, leurs propos complètent, illustrent et précisent les idées et avancées neuroscientifiques essentielles développées dans le chapitre III de l’ouvrage.
Le concept d’ID, la méthodologie qu’il suggère ne se limite pas à l’entreprise ; celui-ci, comme le concept initial d’IE développé au chapitre I a une portée universelle qui peut s’étendre, se décliner et s’utiliser dans toutes les formes d’organisations : politiques, syndicales, économiques, financières, juridiques, normatives, territoriales, etc.
Du fait de nos lectures et des recherches effectuées dans les domaines de l’IE/IS, comme de l’Intelligence Politique et de l’État stratège -(IP-ES) - nous découvrons, des idées nouvelles et des « signaux émergents ou déclinants » qui apparaissent ici et là. Dès lors nous pensons que ceux-ci doivent toujours être pris en considération, retenus et exploités comme des alertes précoces, probables, possibles ou certaines à confirmer. En aucun cas ces signaux et indicateurs avancés ne sauraient être délibérément écartés, au prétexte qu’ils ne sont pas toujours aujourd’hui scientifiquement avérés. N’oublions jamais que la finalité de l’IE/IS est de toujours se situer « en amont » dans le domaine de l’anticipation et des idées émergentes.
Les lanceurs d’alertes, comme pour les auteurs de sciences fictions ceux-ci doivent être écoutés pour les uns et lus avec intérêt pour les autres ! Il n’était donc, pour nous, ni concevable et encore moins acceptable, par respect des lecteurs et ce cette nouvelle discipline de passer sous silence ou d’occulter un certain nombre d’informations avérées, mais également d’hypothèses, de considérations, de réflexions ou d’idées prospectives intéressantes (pensées, esquisses et réflexions , de travaux scientifiques en cours… qui resteront parfois à confirmer) comme des travaux d’auteurs livrant des idées neuves et inédites sur le sujet.
Une des difficultés actuelles de l’IE/IS/ID… Mais plus souvent encore en matière d’’Intelligence Politique -(IP) - dans de nombreux cas, secteurs et domaines économiques, sociaux, sociétaux, communautaristes , culturels…, en premier lieu et souvent dans celle de l’approche politique, est de discerner et de lutter contre les manipulations idéologiques de l’’Ingénierie sociale[[1]] qui aujourd’hui pervertissent, tronquent , morcellent, dénient , dévoient, dénaturent … ou interdisent l’analyse du réel. L’analyse des faits bruts et répétitifs. La multiplicité de faits divers, similaires, identiques ou voisins devient toujours, à termes, qu’on le veuille ou non, un fait de société -( Ex les féminicides)-. Or, ceux-ci ne peuvent objectivement être occultés.
Comme nous l’avons souligné précédemment en matière scientifique toutes ces approches et affirmations, si intéressantes soient-elles pour être irréprochables devront à termes, pour certaines d’entre elles, être scientifiquement validées. Actuellement, elles offrent d’ores et déjà des pistes, des vues prospectives, analogies intéressantes et des pistes de réflexion à méditer, à explorer avec un regard neuf. Elles devront être scientifiquement confirmées. Le souci permanent de chaque praticien de l’IE/IS/IP/ID… sera de toujours les valider. Leur présentation pédagogique actualisée et documentée permet de mieux comprendre et « cerner » ce que sont véritablement les concepts : de management ou de gouvernance compétitive, d’IE, d’IR, d’Intelligence Inventive (II), d’Intelligence sociale et sociétale (ISS), d’Intelligence Politique et d’État Stratège (IP/ES), d’Intelligence Systémique (I syst), d’ID et pour finir d’Intelligence Stratégique (IS).
[[1]] Pratique consistant à utiliser des techniques psychologiques pour manipuler le comportement de quelqu’un. L’ingénierie sociale exploite l’erreur humaine et encourage les victimes à agir contre leurs intérêts en divulguant par exemple des données personnelles en ligne.
Conseil en Intelligence économique et management des risques, diplômé de l’ENSP, 25ème promotion , créateur du cabinet SIES Consultants ; ancien auditeur , membre et vice-président du groupe Intelligence Économique (GIE) de l’Institut National des Hautes Études de la Sécurité (INHES-J).
Il a participé et organisé des conférences, formations et colloques IEMA Alger et enseigné l’Intelligence économique, l’audit d’IE et l’Intelligence des risques dans différents masters : École Européenne d’Intelligence Économique (EEIE) Versailles, ISC Paris, CERAM Sophia Antipolis puis Skéma Business School , Pôle Universitaire Léonard de Vinci Paris, ESIEE, Institut Supérieur d’Électronique de Paris (ISEP), formations à l’IFIE, etc.
Co-auteur avec B. Besson de plusieurs ouvrages sur l’Intelligence économique. Jean-Claude Possin, seul ou avec Bernard Besson, signaient la rubrique « Méthodologie et bonnes pratiques » de Regards sur l’IE ainsi que de nombreux articles dans Veille Magazine et autres publications.
Il a participé et organisé des conférences, formations et colloques IEMA Alger et enseigné l’Intelligence économique, l’audit d’IE et l’Intelligence des risques dans différents masters : École Européenne d’Intelligence Économique (EEIE) Versailles, ISC Paris, CERAM Sophia Antipolis puis Skéma Business School , Pôle Universitaire Léonard de Vinci Paris, ESIEE, Institut Supérieur d’Électronique de Paris (ISEP), formations à l’IFIE, etc.
Co-auteur avec B. Besson de plusieurs ouvrages sur l’Intelligence économique. Jean-Claude Possin, seul ou avec Bernard Besson, signaient la rubrique « Méthodologie et bonnes pratiques » de Regards sur l’IE ainsi que de nombreux articles dans Veille Magazine et autres publications.
Bibliographe
-« Du renseignement à l’intelligence économique » Cybercriminalité, contrefaçon, veilles stratégiques : détecter les menaces et les opportunités pour l’entreprise. Dunod seconde édition mai 2001,
-« L’audit d’intelligence économique » Mettre en place et optimiser un dispositif coordonné d’intelligence collective Dunod 2ème édition août 2002
-« l’Intelligence des risques » Intelligence économique, Sécurité, sûreté, environnement, management. L’intelligence économique pour prévenir les crises au lieu de les gérer. Editons IFIE (Institut Français d’intelligence économique) collection « pratique de l’IE » janvier 2006.
- « Intelligence économique et gouvernance compétitive » ouvrage collectif du groupe IE de l’INHES-J, Documentation Française à paraître premier semestre 2006.
« De l’intelligence des risques à la mission de protection », tome 1 : - du concept au système, tome 2 : - pratique de la mission protection-sécurité- IFIE Octobre 2008.
« Retour sur investissement (RSI) en intelligence économique et valorisation du capital immatériel » Encyclopédie Weka « Management stratégique de l’information » juin 2010.
« Des Neurosciences au management décisionnel par l’IE » article Jean-Claude Possin Rie N° 30 juin 2010.
« Intelligence Décisionnelle et Neurosciences », « Sciences et Neurosciences, sociologie décisionnelle et processus de décision ». Article-synthèse de J-C Possin « Neurosciences et Intelligence Décisionnelle » dans Veille magazine de mars 2019 . Puis , publications régulières , seul ou avec Bernard Besson d ’articles, billets, chroniques…, dans Veille Magazine et Regards sur L’IE (RIE) sur plusieurs décennies.
« Intelligence politique et État Stratège » Bernard Besson et Jean-Claude Possin - Amazon mars 2022.
« Intelligence décisionnelle et Cognition » de J-C Possin à paraitre septembre 2024.