La 15e édition évènement de SEARCH-day aura lieu le mercredi 22 mars après-midi et le jeudi 23 en matinée en mode hybride :
- en présentiel, au 7 rue Lamennais Paris 8e dans les locaux de l'IESF, selon les places disponibles, après validation de votre inscription auprès de : christophe@01innovation.com Tel. 06 60 84 79 33, ou
- en visio, avec les liens d’inscription en ligne :
- Mercredi 22 mars https://us06web.zoom.us/webinar/register/WN_UlBFfPTmQaqmiTicoBjumg
- Jeudi 23 marshttps://us06web.zoom.us/webinar/register/WN_NCMt6f52SZmSf297nF87EA
Contenu du programme et biographies des intervenants : www.search-day.com

Pour toute demande d'information complémentaire, merci de contacter
Jacqueline Sala
jsala@veillemag.com

Vous présentez le retour d'expérience OPHELIE développé par Ardans le mercredi 22 mars 16h. Merci d'avoir répondu a nos questions. Par Julie Simons.

Ardans met à disposition de ses clients, une expertise en système d’information et en Knowledge Management (KM). La mise en œuvre d’un système de Knowledge Management (SKM) au sein d’une organisation peut prendre de nombreuses formes (cartographie, exploitation des retours d’expérience, transfert de connaissances, etc.). La norme ISO 30401 qui est parue en novembre 2018 a eu le mérite de clarifier ce périmètre). Cette norme inventorie, encadre et détaille les bonnes pratiques du Knowledge Management.

L’ingénierie de la connaissance est une des activités centrales qu’un consultant en Knowledge Management réalise pour une organisation et notre société, Ardans, est reconnue pour avoir développé un savoir-faire unique.

La définition académique de l’ingénierie de la connaissance souligne que c’est aussi une discipline de l’Intelligence Artificielle et qu’elle couvre tout le cycle d’élicitation d’un élément de connaissance,
sa structuration, son murissement en termes de contenu, sa description via une définition claire, non ambiguë, la rédaction étant appuyée par des illustrations ou schématisations si nécessaire), son applicabilité (en termes de domaine d’usage, de droit à en connaître en termes de publication ou d’habilitation, de durée de vie ou de date de péremption, et bien sûr de validation (appréciation d’expert, justification, degré de preuve notamment).

In fine, l’ingénierie de la connaissance est le métier consistant à rendre possible le fait qu’un programme informatique puisse restituer à l’interrogation d’un utilisateur, une réponse pertinente et fidèle d’un expert du métier.

C’est ainsi que de manière opérationnelle, l’ingénierie de la connaissance apporte une méthodologie pour construire la mémoire collective d’un domaine métier. La mise en œuvre de cette discipline par un consultant en Knowledge Management permet d’identifier, de collecter et de recueillir la connaissance métier à haute valeur ajoutée en la formalisant, l’organisant (structure, liens sémantiques, classification, ontologie) et la mettant en forme pour en favoriser l’exploitation par l’organisation, que cela soit par d’autres collaborateurs ou par des systèmes d’information.

Les organisations qui se sont équipées de bases de connaissance et de l’organisation associée (on parle de SKM) sécurisent et valorisent leurs savoir-faire stratégiques.

Grâce au déploiement de solutions comme :

· AKM, Ardans Knowledge Maker, logiciel de Gestion de la Connaissance (https://www.ardanssoftware.com/solutions/knowledge-maker)



· Parnasse, solution accompagnant et guidant le Knowledge Manager dans sa mission de déploiement d’une stratégie, d’un système KM tel que proposé par la norme ISO 30401 (https://ardanssoftware.com/news/parnasse-selon-club-gestion-des-connaissances-ardans )

· CopManager et son fameux CopBok, solution et guide méthodologique supportant le gestionnaire de communauté
(https://ardanssoftware.com/solutions/copbok)

Les organisations bénéficient de la ou des bases de connaissance adaptées à leurs besoins.

Les connaissances stockées et partagées dans ces systèmes sont l’aboutissement des raisonnements et des recherches menées par chacun, habituellement démontrées par de multiples ressources, travaux, ou encore bases de données issues d’expériences. C’est ainsi que les équipes bénéficient d’un outil support, où elles sont en capacité de partager et d’enrichir de manière collaborative le savoir-faire spécifique à l’entreprise (langage commun, référentiel métier, procédures, retour d’expérience, etc.).

Ophélie est une solution d’audit « coup de poing », une méthode, résultat du savoir-faire combiné des équipes Ardans et 3org visant à diagnostiquer, valider et identifier « comment harmoniser vos systèmes d’information » afin que :
• toutes vos équipes puissent mieux échanger et partager ;
• tous vos collaborateurs trouvent facilement et rapidement les informations qui leur sont nécessaires.

Pour cela, nos équipes mènent une opération sur 2 mois maximum aboutissant à la livraison d’un rapport détaillé préconisant les axes d’amélioration vis-à-vis de la gestion des données de description dans votre système d’information (métadonnées, indexation, convergence ou normalisation du langage commun, etc.) et les impacts positifs qui en découleront.

Prenons un exemple du monde de l’industrie automobile. Il serait assez naturel de penser que la notion d’ « Âge » du véhicule est universelle et que toutes les équipes d’une entreprise la partage. Dans la réalité, on constate des visions différentes qui sont implantées dans les systèmes d’information. Pour certains l’ « Âge » d’un véhicule correspond à « son ancienneté par rapport à sa date de fabrication », pour d’autres à « son kilométrage », à « sa date de première immatriculation », et pour d’autres encore à « sa génération de conception» et ces propositions ne sont pas exhaustives. C’est ainsi que l’utilisation de cette notion de description « Âge » dans les systèmes d’information de l’entreprise impose une unicité afin de pouvoir bénéficier de la meilleure exploitation future (interopérabilité entre des applications par exemple).

Ce travail d’appréhension de la polysémie va conduire à de l’efficience collective via la clarté produite par un langage commun partagé : être plus efficace ensemble pour mieux collaborer dans la mission de l’organisation. C’est la finalité d’Ophélie !