L'importance de l'Olympisme en tant qu'enjeu de pouvoir a augmenté en raison de la participation croissante d'États et de disciplines sportives, ainsi que de sa diffusion télévisée populaire lors des Jeux.
Depuis le début du XXe siècle, le sport est exploité comme un moyen de puissance et de prestige pour les États, une pratique toujours d'actualité, comme en témoigne la cérémonie d'ouverture des Jeux de Paris 2024. Les Jeux Olympiques sont une opportunité médiatique pour les pays et les entités cherchant à se faire connaitre et à améliorer leur image, malgré le risque d'exclusion en cas de mauvaise conduite. Bien que le CIO gagne en influence, il ne possède pas encore l'autorité requise pour imposer sa Pax Olympica.
Le sport est devenu un élément clé des relations internationales au XXe siècle, notamment à travers les Jeux olympiques.
Cette compétition, orchestrée par le CIO, implique des sphères sportives, économiques et de régulation, avec des acteurs externes tels que les États et les ONG cherchant à l'utiliser à des fins géopolitiques. Le contrôle de cet événement est crucial pour le CIO, qui utilise la reconnaissance et l'exclusion pour maintenir son autorité. Malgré les tensions occasionnelles, le « coût géopolitique du sport » peut demeurer faible pour certains acteurs.
En moins d'un siècle, le sport est passé d'un passe-temps européen réservé à quelques amateurs à un phénomène mondial impliquant des millions d'hommes et de femmes de tous horizons. Les événements internationaux, notamment les Jeux olympiques, ont contribué à son essor.
Trois types d'organisations se disputent la gouvernance du sport au niveau mondial : le CIO, les fédérations sportives internationales et les gouvernements. Cette lutte géopolitique continue encore aujourd'hui.
En moins d'un siècle, le sport est passé d'un passe-temps européen réservé à quelques amateurs à un phénomène mondial impliquant des millions d'hommes et de femmes de tous horizons. Les événements internationaux, notamment les Jeux olympiques, ont contribué à son essor.
Trois types d'organisations se disputent la gouvernance du sport au niveau mondial : le CIO, les fédérations sportives internationales et les gouvernements. Cette lutte géopolitique continue encore aujourd'hui.
Ouverture des JO. Pari tenu ! Paris Gagné !
La tradition de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques remonte aux Jeux antiques et a été maintenue lors des Jeux modernes. Depuis le début du xxe siècle, la cérémonie d’ouverture a toujours eu lieu dans un stade, un lieu sacré qui offre une enceinte pour les spectateurs et garantit la sécurité de l'événement.
En choisissant la déambulation comme option principale, Paris 2024 fait un choix révolutionnaire qui a suscité des interrogations parmi les experts en sécurité, surtout dans un contexte géopolitique complexe. Cette cérémonie d'ouverture prévue sur la Seine a représenté un défi pour les forces de sécurité intérieure responsables du bon déroulement de l'événement. Défi relevé !
La sécurité des JO de Paris 2024 a été une priorité absolue en raison de l'importance médiatique de l'événement. Les cyberattaques sont un risque majeur, ayant débuté aux JO de Montréal en 1976. La France a gèré la sécurité informatique liée aux billets et à la gestion des épreuves, tandis que les infrastructures relèvent des pays ou des villes hôtes.
L'approche institutionnelle de la France comprend un préfet dédié aux Jeux, permettant d'aligner les acteurs sur la cybersécurité.
En choisissant la déambulation comme option principale, Paris 2024 fait un choix révolutionnaire qui a suscité des interrogations parmi les experts en sécurité, surtout dans un contexte géopolitique complexe. Cette cérémonie d'ouverture prévue sur la Seine a représenté un défi pour les forces de sécurité intérieure responsables du bon déroulement de l'événement. Défi relevé !
La sécurité des JO de Paris 2024 a été une priorité absolue en raison de l'importance médiatique de l'événement. Les cyberattaques sont un risque majeur, ayant débuté aux JO de Montréal en 1976. La France a gèré la sécurité informatique liée aux billets et à la gestion des épreuves, tandis que les infrastructures relèvent des pays ou des villes hôtes.
L'approche institutionnelle de la France comprend un préfet dédié aux Jeux, permettant d'aligner les acteurs sur la cybersécurité.
Et maintenant ?
Il restera une analyse sereine à mener, pour dresser un bilan des retombées, nous l'espérons positives, de cette organisation au niveau des relations géopolitiques. L'image de la France et des Français en sera-t-elle modifiée ? Les entreprises en tireront-elles un avantage objectif ? Les citoyens eux-mêmes vont-ils gagner en confiance ? Les territoires ont-ils tiré leur épingle du jeu ? Quelles filières économiques ont-elles mis à profit cette visibilité internationale ?
Bien d'autres questions méritent d'être posées. Vos avis nous intéressent. Contactez-nous !
Bien d'autres questions méritent d'être posées. Vos avis nous intéressent. Contactez-nous !