Pathologies de l'information
La première partie du rapport examine les pathologies de l’information, distinguant malinformation, mésinformation et désinformation, tout en abordant les biais des modèles d’intelligence artificielle. Il met en lumière les difficultés de régulation et les risques liés à la manipulation de l’information, notamment dans les secteurs sensibles comme la finance.
En réponse à ces défis, l’Académie des technologies esquisse plusieurs pistes d’action. Elle plaide pour un renforcement de l’éducation aux médias, une régulation équilibrée des plateformes et une meilleure détection des infox par des outils intelligents. Parmi ses six propositions, figurent la création d’un « ChatPedia » éducatif, la mise en place d’un comité consultatif sur l’information scientifique et un observatoire de l’édition artificielle.
Ce rapport s’adresse aux décideurs politiques, aux médias et aux chercheurs afin de favoriser une prise de conscience collective sur les enjeux liés à l’IA générative et d’encourager des mesures concrètes contre la désinformation. Il ambitionne ainsi de nourrir le débat public et d’orienter les initiatives à venir.
En réponse à ces défis, l’Académie des technologies esquisse plusieurs pistes d’action. Elle plaide pour un renforcement de l’éducation aux médias, une régulation équilibrée des plateformes et une meilleure détection des infox par des outils intelligents. Parmi ses six propositions, figurent la création d’un « ChatPedia » éducatif, la mise en place d’un comité consultatif sur l’information scientifique et un observatoire de l’édition artificielle.
Ce rapport s’adresse aux décideurs politiques, aux médias et aux chercheurs afin de favoriser une prise de conscience collective sur les enjeux liés à l’IA générative et d’encourager des mesures concrètes contre la désinformation. Il ambitionne ainsi de nourrir le débat public et d’orienter les initiatives à venir.
Face aux risques croissants de mésinformation liés à l’essor de l’IA générative, l’Académie des technologies propose six mesures destinées à mieux encadrer ces outils et à renforcer la lutte contre la manipulation de l’information.
Parmi les initiatives avancées, la création d’un « ChatPedia » éducatif" vise à fournir aux élèves un outil pédagogique pour décrypter les biais et les limites des intelligences artificielles. En parallèle, l’établissement d’un socle statistique du numérique permettrait de mesurer l’impact de ces technologies sur la circulation de l’information.
Afin d’améliorer la régulation des contenus scientifiques et techniques diffusés en ligne, l’Académie recommande l’institution d’un Comité Consultatif auprès de l’Arcom, chargé d’analyser leur fiabilité. De même, la mise en place d’un observatoire de l’édition artificielle contribuerait à suivre l’évolution et l’influence des contenus générés par IA dans les médias et l’édition numérique.
Dans un souci de transparence, l’Académie préconise l’affichage d’un score d’artificialité sur les plateformes, afin d’informer les utilisateurs sur la proportion de contenu généré artificiellement. Enfin, face aux risques liés aux ingérences étrangères, elle suggère de **sanctionner les opérations de désinformation orchestrées à des fins de manipulation.
Loin de vouloir restreindre la liberté d’expression, ces propositions ambitionnent de structurer un cadre de régulation équilibré et de sensibiliser l’ensemble des acteurs – institutions, médias et citoyens – aux enjeux d’une information fiable à l’ère de l’intelligence artificielle.
Afin d’améliorer la régulation des contenus scientifiques et techniques diffusés en ligne, l’Académie recommande l’institution d’un Comité Consultatif auprès de l’Arcom, chargé d’analyser leur fiabilité. De même, la mise en place d’un observatoire de l’édition artificielle contribuerait à suivre l’évolution et l’influence des contenus générés par IA dans les médias et l’édition numérique.
Dans un souci de transparence, l’Académie préconise l’affichage d’un score d’artificialité sur les plateformes, afin d’informer les utilisateurs sur la proportion de contenu généré artificiellement. Enfin, face aux risques liés aux ingérences étrangères, elle suggère de **sanctionner les opérations de désinformation orchestrées à des fins de manipulation.
Loin de vouloir restreindre la liberté d’expression, ces propositions ambitionnent de structurer un cadre de régulation équilibré et de sensibiliser l’ensemble des acteurs – institutions, médias et citoyens – aux enjeux d’une information fiable à l’ère de l’intelligence artificielle.