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Ce travail est une interrogation sur la réalité de l’intelligence des catastrophes au sens d’intelligence de situation, approche qui semble faire défaut aux populations des territoires soumis aux chocs fulgurants et destructeurs, mais aussi aux décideurs chargés de la gestion de la crise et de sa sortie
Le sujet est central, car nous quittons la société du risque pour entrer dans la société des chocs, des ruptures et des catastrophes, phénomènes systémiques.
Contraints de subir l’inédit, l’imprévisible, il est désormais proposé de changer de paradigme. Il est suggéré l’instauration d’un véritable dialogue avec ces catégories à l’échelle des territoires et d’engager la construction d’une démarche qui, dépassant la traditionnelle gestion de crise, établit l’anticipation et la résilience comme nouvelle dynamique de prévention, de continuité, de protection et de secours, d’organisation de la post-catastrophe et de la reconstruction.
Il s’agit de partir des réalités sociétales, celles à reconstruire, mais du capital social et des solidarités de chaque territoire, véritable levier de résilience. Une première partie tente la mesure, produit des chiffres sur la dynamique des catastrophes. La seconde partie établit les limites des approches actuelles pour s’ouvrir sur la troisième partie conduite comme l’exploration d’approches existante, briques d’intelligence au sens logiciel du terme, permettant de donner de la matière opérationnelle et préfigurer une démarche opérationnelle, où l’on constatera que les démarches rationnelles de la science triomphante sont concurrencées par le social et la débrouillardise.
Contraints de subir l’inédit, l’imprévisible, il est désormais proposé de changer de paradigme. Il est suggéré l’instauration d’un véritable dialogue avec ces catégories à l’échelle des territoires et d’engager la construction d’une démarche qui, dépassant la traditionnelle gestion de crise, établit l’anticipation et la résilience comme nouvelle dynamique de prévention, de continuité, de protection et de secours, d’organisation de la post-catastrophe et de la reconstruction.
Il s’agit de partir des réalités sociétales, celles à reconstruire, mais du capital social et des solidarités de chaque territoire, véritable levier de résilience. Une première partie tente la mesure, produit des chiffres sur la dynamique des catastrophes. La seconde partie établit les limites des approches actuelles pour s’ouvrir sur la troisième partie conduite comme l’exploration d’approches existante, briques d’intelligence au sens logiciel du terme, permettant de donner de la matière opérationnelle et préfigurer une démarche opérationnelle, où l’on constatera que les démarches rationnelles de la science triomphante sont concurrencées par le social et la débrouillardise.
