Source : Journal du Net
Extraits
« Récemment nommé à la tête de l'organisme en charge de la politique Open Data et des systèmes d'information de l'Etat, Jérôme Filippini esquisse les contours de la politique du gouvernent en matière de transformation numérique. »
...
Le 20 décembre, le gouvernement présentera également une feuille de route qui doit tracer les orientations de son projet en matière de modernisation de l'action publique ? Quelles seront-elles ?
Depuis une quinzaine d'années, les administrations sont entrées dans l'ère des services en ligne. Un très grand nombre de services publics sont aujourd'hui adossés à un téléservice. Le gouvernement souhaite que l'on franchisse un cap en la matière : il s'agit de passer d'une administration électronique qui était parfois trop centrée sur la simple dématérialisation des procédures à une démarche de design de services qui, dès leur conception, intègrent le numérique au coeur de la réflexion sur les interactions avec les usagers. Le service public doit aujourd'hui être numérique par principe, sans pour autant laisser de côté une partie de la population qui ne veut ou ne peut pas recourir à ce canal.
Le deuxième enjeu, c'est la stratégie d'ouverture des données. Le gouvernement souhaite dépasser le stade de la simple mise à disposition des jeux de données sur un portail. C'était la première étape d'Etalab avec le lancement de Data.gouv.fr. Nous devons désormais travailler au développement de tous les autres aspects du gouvernement ouvert, à savoir la transparence de l'action publique, la confiance en sa puissance et l'association des usagers à la conception de tels services..
Extraits
« Récemment nommé à la tête de l'organisme en charge de la politique Open Data et des systèmes d'information de l'Etat, Jérôme Filippini esquisse les contours de la politique du gouvernent en matière de transformation numérique. »
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Le 20 décembre, le gouvernement présentera également une feuille de route qui doit tracer les orientations de son projet en matière de modernisation de l'action publique ? Quelles seront-elles ?
Depuis une quinzaine d'années, les administrations sont entrées dans l'ère des services en ligne. Un très grand nombre de services publics sont aujourd'hui adossés à un téléservice. Le gouvernement souhaite que l'on franchisse un cap en la matière : il s'agit de passer d'une administration électronique qui était parfois trop centrée sur la simple dématérialisation des procédures à une démarche de design de services qui, dès leur conception, intègrent le numérique au coeur de la réflexion sur les interactions avec les usagers. Le service public doit aujourd'hui être numérique par principe, sans pour autant laisser de côté une partie de la population qui ne veut ou ne peut pas recourir à ce canal.
Le deuxième enjeu, c'est la stratégie d'ouverture des données. Le gouvernement souhaite dépasser le stade de la simple mise à disposition des jeux de données sur un portail. C'était la première étape d'Etalab avec le lancement de Data.gouv.fr. Nous devons désormais travailler au développement de tous les autres aspects du gouvernement ouvert, à savoir la transparence de l'action publique, la confiance en sa puissance et l'association des usagers à la conception de tels services..