Le pirate informatique de 2011 n'opère plus seul dans son coin. Pour la simple raison que, contrairement aux « hackers » adolescents des années 1990, son but n'est pas de relever un défi technique et d'acquérir une certaine célébrité, mais de gagner de l'argent. « Les cybercriminels forment une chaîne, composée d'individus aux compétences multiples, présents dans divers pays », explique la Compagnie européenne d'intelligence stratégique (CEIS). Ce type d'association de malfaiteurs, comme LulzSec - à l'origine des attaques contre Sony, le FBI et la CIA - permet aux cyberattaques de se dérouler très rapidement.
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Source : La Tribune