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Le service utilisait jusqu’ici Digimind mais suite à un appel d’offres, Keywatch d’Iscope l’a emporté. « Il répondait techniquement aux besoins, avec une facilité à mutualiser, nous rendant très autonomes, à des coûts raisonnables ». Le pôle a apprécié qu’il soit associé au moteur de recherche Sinequa qui est un moteur sémantique ; cette intégration lui permettant d’accéder à des sujets de recherche, très variés, très professionnels. De plus Keywatch propose un outil sans connecteur aux bases de données, « ce qui nous simplifie la vie ».
Le service est hébergé en mode ASP par Iscope qui s’est chargé de la procédure d’installation. Dans cette phase de mise en œuvre, ils sont une quinzaine de veilleurs à l’utiliser. A terme, objectif deux ans, il s’agit de rendre les rédacteurs et analystes autonomes quant à la consultation. La prise en mains n’a pas été compliquée, elle s’est bien passée. L’utilisation demande toutefois une certaine technicité des gens qui paramètrent.
Un important travail de sourcing est nécessaire. Un grand nombre de sources, elles sont près de 1000, sont difficilement accessibles et, c’est la nature même de ce qu’elles produisent qui intéresse le ministère. « Nous sommes intéressés par le fond, pas par l’événementiel. » Le bruit est un vrai souci car les interrogations sont assez vagues. Il leur fallait un outil de recherche performant. Les résultats en terme d’axes de recherche sont conformes à ce qu’ils demandaient. « Keywatch permet de bien surveiller les sources qu’on voulait surveiller. Depuis que nous utilisons Keywatch, nous arrivons à une plus grande précision, et ce qu’on obtient correspond mieux à ce qu’on cherche vraiment, » résume Marie-Pascale Krumnow.
L’appel d’offres insistait sur la capacité de crawling de tout type de sources, y compris les bases de données et les capacités du moteur de recherche. Keywatch satisfait pleinement les objectifs fixés. Il y a encore des progrès à faire en terme d’ergonomie de l’outil. « Nous avons l’intention, dans un deuxième temps, d’améliorer les modèles de rapports. »
Le service est hébergé en mode ASP par Iscope qui s’est chargé de la procédure d’installation. Dans cette phase de mise en œuvre, ils sont une quinzaine de veilleurs à l’utiliser. A terme, objectif deux ans, il s’agit de rendre les rédacteurs et analystes autonomes quant à la consultation. La prise en mains n’a pas été compliquée, elle s’est bien passée. L’utilisation demande toutefois une certaine technicité des gens qui paramètrent.
Un important travail de sourcing est nécessaire. Un grand nombre de sources, elles sont près de 1000, sont difficilement accessibles et, c’est la nature même de ce qu’elles produisent qui intéresse le ministère. « Nous sommes intéressés par le fond, pas par l’événementiel. » Le bruit est un vrai souci car les interrogations sont assez vagues. Il leur fallait un outil de recherche performant. Les résultats en terme d’axes de recherche sont conformes à ce qu’ils demandaient. « Keywatch permet de bien surveiller les sources qu’on voulait surveiller. Depuis que nous utilisons Keywatch, nous arrivons à une plus grande précision, et ce qu’on obtient correspond mieux à ce qu’on cherche vraiment, » résume Marie-Pascale Krumnow.
L’appel d’offres insistait sur la capacité de crawling de tout type de sources, y compris les bases de données et les capacités du moteur de recherche. Keywatch satisfait pleinement les objectifs fixés. Il y a encore des progrès à faire en terme d’ergonomie de l’outil. « Nous avons l’intention, dans un deuxième temps, d’améliorer les modèles de rapports. »
Les nouveautés de Keywatch
Plusieurs nouveautés chez Keywatch, notamment l’unification des jeux de caractères, quelle que soit la langue utilisée. Cela permet d’indexer l’information et de rechercher dans l’information quelle que soit la langue utilisée. L’ergonomie de l’application s’est également améliorée avec la possibilité de mises en pages multiples pour la réalisation de newsletters au format PDF.
De plus, Iscope propose un nouveau format d’export Open Document et la migration de tous les espaces de travail en web 2.0. « Nous avons une gestion beaucoup plus dynamique de l’information » note Laurence Marcelli, responsable Iscope. Enfin, Iscope a comme l’indique l’application du Ministère des Affaires Etrangères, désormais, une offre intégrée avec le moteur Sinequa.
De plus, Iscope propose un nouveau format d’export Open Document et la migration de tous les espaces de travail en web 2.0. « Nous avons une gestion beaucoup plus dynamique de l’information » note Laurence Marcelli, responsable Iscope. Enfin, Iscope a comme l’indique l’application du Ministère des Affaires Etrangères, désormais, une offre intégrée avec le moteur Sinequa.