Mounir Rochdi, Président de ThinkTankers, ouvre la série "Beyond the Signal", une collection de vidéos où des experts internationaux apportent leur éclairage sur des enjeux stratégiques majeurs, notamment l’intelligence économique. Cette initiative s'inscrit dans la démarche de ThinkTankers, qui cherche à transformer l’information en leviers d’action concrets et efficaces.
Selon lui, l’intelligence économique ne peut se réduire à une simple analyse concurrentielle. Elle exige une approche globale qui prend en compte l’ensemble des facteurs influant sur la compétitivité. Il la conçoit comme un écosystème intégré où coexistent veille, influence, lobbying, sécurité économique et intelligence collective, autant de piliers indispensables à une stratégie efficace.
Selon lui, l’intelligence économique ne peut se réduire à une simple analyse concurrentielle. Elle exige une approche globale qui prend en compte l’ensemble des facteurs influant sur la compétitivité. Il la conçoit comme un écosystème intégré où coexistent veille, influence, lobbying, sécurité économique et intelligence collective, autant de piliers indispensables à une stratégie efficace.
Parmi les défis soulevés, la frontière parfois floue entre intelligence économique et espionnage est un point clé.
Mounir Rochdi insiste sur la nécessité d’une éthique rigoureuse et d’une déontologie irréprochable afin de garantir des pratiques légales et transparentes. Il rappelle que l’intelligence économique repose sur des sources d’information ouvertes—sans pour autant être toujours gratuites—et qu’elle doit s’adapter aux spécificités du terrain, y compris aux dimensions culturelles.
Quant à l’intelligence artificielle générative, il en soutient l’usage, fort de sa propre recherche doctorale sur les chatbots. Il met toutefois en garde contre le partage d’informations confidentielles avec ces outils, dont les données peuvent être exploitées pour leur entraînement. À ses yeux, une maîtrise des prompts et des personas est essentielle pour en tirer le meilleur parti sans risque.
Mounir Rochdi insiste sur la nécessité d’une éthique rigoureuse et d’une déontologie irréprochable afin de garantir des pratiques légales et transparentes. Il rappelle que l’intelligence économique repose sur des sources d’information ouvertes—sans pour autant être toujours gratuites—et qu’elle doit s’adapter aux spécificités du terrain, y compris aux dimensions culturelles.
Quant à l’intelligence artificielle générative, il en soutient l’usage, fort de sa propre recherche doctorale sur les chatbots. Il met toutefois en garde contre le partage d’informations confidentielles avec ces outils, dont les données peuvent être exploitées pour leur entraînement. À ses yeux, une maîtrise des prompts et des personas est essentielle pour en tirer le meilleur parti sans risque.