dans Edito,France Europe Puissances
Extrait - Ceci n'est que la fin/conclusion de l'article qui mérite d'être lu dans son intégralité
Depuis le début de la crise économique la France, ne semble pas voir cette politique allemande d’intérêt national qui est aussi celle de tous les grands acteurs mondiaux. Si l’Allemagne ne souhaite pas que sa puissance soit au service de la puissance européenne commune, la France doit en tirer les conséquences, et affronter l’Allemagne en la contraignant à la coopération européenne ou mener sa propre politique. Sur l’ensemble de ces questions, il n’y a pas, pour l’instant, chez François Hollande, de vision stratégique claire. Comme l’écrivait Harbulot en 2003, les élites se sont enfermées dans une vision passéiste des enjeux, « la préservation des intérêts fondamentaux de la France et de l’Europe se fera par la renaissance de la pensée stratégique fondée sur la puissance ». Les principales puissances mondiales ont saisi cette réalité, la France a les moyens de cette politique, il lui suffit de le vouloir.
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Depuis le début de la crise économique la France, ne semble pas voir cette politique allemande d’intérêt national qui est aussi celle de tous les grands acteurs mondiaux. Si l’Allemagne ne souhaite pas que sa puissance soit au service de la puissance européenne commune, la France doit en tirer les conséquences, et affronter l’Allemagne en la contraignant à la coopération européenne ou mener sa propre politique. Sur l’ensemble de ces questions, il n’y a pas, pour l’instant, chez François Hollande, de vision stratégique claire. Comme l’écrivait Harbulot en 2003, les élites se sont enfermées dans une vision passéiste des enjeux, « la préservation des intérêts fondamentaux de la France et de l’Europe se fera par la renaissance de la pensée stratégique fondée sur la puissance ». Les principales puissances mondiales ont saisi cette réalité, la France a les moyens de cette politique, il lui suffit de le vouloir.
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