C’est assez triste à dire, mais les périodes de crise sont des périodes d’opportunités inédites. Trois crises frappent l’économie française (et européenne) de plein fouet : sanitaire, financière et technologique. La crise sanitaire aura des incidences systémiques déjà bien identifiées, notamment en terme de révélation de l’affaiblissement notoire des Etats et Administrations (Cf. Bruno Le Maire abordant sur BFM TV le fait que l’Etat allait protéger en priorité les entreprises où il a des participations).
La crise financière, elle, n’est qu’au commencement de ses incidences car le principe de la finance et de la monnaie est qu’il est nécessaire d’avoir confiance dans le système pour que ce dernier fonctionne correctement. Or, lorsqu’il va être question de geler certains comptes, certaines épargnes et que d’éventuelles nationalisations ou fermetures boursières se révéleront nécessaires que restera-t-il de cette confiance ?
En outre, comme l’expliquait Ludovic Sebran, le système économique européen connaît en ce moment une dilatation qui met en stand-by la mécanique de production en raison du blocage de la mécanique de vente. En clair la fluidification des capitaux et des transactions est compromise, les marges sont bloquées car le carnet de commande est bloqué.
Ce qui est réellement pointé, c’est la non-digitalisation de l’économie, et les questions de télétravail ouvrent dors et déjà des interrogations sur la viabilité des SI exposés en masse. Les statistiques sur la viabilité de ceux-ci, leurs capacités à résister à la cyberguerre étaient en question ces dernières semaines, mais la Crise révèle clairement que l’absence de volonté dans les organisations, grandes ou petites, conduit à une surexposition. Absence de volonté qui a, rappelons le, une incidence sur le fait de provisionner des budgets d’une année à l’autre, et une origine purement humaine.
En outre, comme l’expliquait Ludovic Sebran, le système économique européen connaît en ce moment une dilatation qui met en stand-by la mécanique de production en raison du blocage de la mécanique de vente. En clair la fluidification des capitaux et des transactions est compromise, les marges sont bloquées car le carnet de commande est bloqué.
Ce qui est réellement pointé, c’est la non-digitalisation de l’économie, et les questions de télétravail ouvrent dors et déjà des interrogations sur la viabilité des SI exposés en masse. Les statistiques sur la viabilité de ceux-ci, leurs capacités à résister à la cyberguerre étaient en question ces dernières semaines, mais la Crise révèle clairement que l’absence de volonté dans les organisations, grandes ou petites, conduit à une surexposition. Absence de volonté qui a, rappelons le, une incidence sur le fait de provisionner des budgets d’une année à l’autre, et une origine purement humaine.
Concrètement, nous attaquons la crise sanitaire et financière avec des processus issus de la Deuxième Révolution industrielle et des moyens du siècle dernier. La guerre a changé de visage et, comme en 1914, nous entrons dans cette période de rapports de force technologiques et économiques avec du matériel et des organisations vieux d’une trentaine d’années. Il y a des opportunités à saisir, c'est pour cela que débute la guerre des trônes !
Due Diligence : Investir et acquérir les PME et les futures licornes
Cette situation offre de belles opportunités à saisir, à un tarif particulièrement intéressant, étant donné la position de vulnérabilité dans laquelle s’inscrit tout le secteur économique. Comme nous l’évoquions, la Maison France s’est organisée pour protéger quelques uns des acteurs économiques mais sa capacité d’aide est nécessairement limitée par la lourdeur de son dispositif administratif et humain. De fait, il y a énormément d’acteurs à suivre. La question fondamentale est de savoir “Quoi” et “Pourquoi”.
Les anciennes pratiques d’audit financier, utilisant des référentiels adaptés à l’industrie et économie du siècle dernier, doivent nécessairement s’enrichir de pratiques en Due Diligence parfaitement adéquates avec le monde digitalisé. L’information collectée, la propriété intellectuelle et les mécanismes de valorisation/négoce de ces données sont la cible majeure, ce qu'il faut garantir. Elles sont la cible majeure parce qu’elles permettent nativement de générer du chiffre d’affaires ayant un fort EBITDA en complément des activités traditionnelles, elles sont aussi ce qui permet de garantir le contrôle tout en délocalisant.
Ce que nous préconisons pour vous :
- Visez en priorité les actifs immatériels (i.e. propriété intellectuelle, data, exécutables, brevets, marques, documents de conception de niveau 2 et 3).
- Vérifiez que les exploitations de ces actifs par les véhicules juridiques sont saines (i.e. Analyse des cyber-risques et conséquences économiques, notamment avec notre indicateur clé, analyse des incidences géostratégiques).
Planifiez la valorisation de ces actifs (i.e. commerciale dans le véhicule acquis, par démantèlement, par commerce parallèle sur des concessions et vente de flux de données).
Les sociétés présentent dans le Next40, le FT120 et dépendant de la BPI France sont aujourd’hui à haut risque, pour la plupart. Tout l’enrobage marketing propulsé par les administrations n’a cependant pas terrassé le bon sens terrien. Pas pour ceux ayant connu la précarité ou étant issus de nations ayant pris leur revanche sur l'Histoire ces dernières décennies.
Dans la grande braderie qui va commencer et qui touchera le secteur de l’innovation stratégique (et souverain), pensez à considérer la Due diligence sous la férule des règles du capitalisme digital autant que du capitalisme industriel. C'est ainsi que vous pourrez réellement planifier et garantir votre portefeuille.
Les anciennes pratiques d’audit financier, utilisant des référentiels adaptés à l’industrie et économie du siècle dernier, doivent nécessairement s’enrichir de pratiques en Due Diligence parfaitement adéquates avec le monde digitalisé. L’information collectée, la propriété intellectuelle et les mécanismes de valorisation/négoce de ces données sont la cible majeure, ce qu'il faut garantir. Elles sont la cible majeure parce qu’elles permettent nativement de générer du chiffre d’affaires ayant un fort EBITDA en complément des activités traditionnelles, elles sont aussi ce qui permet de garantir le contrôle tout en délocalisant.
Ce que nous préconisons pour vous :
- Visez en priorité les actifs immatériels (i.e. propriété intellectuelle, data, exécutables, brevets, marques, documents de conception de niveau 2 et 3).
- Vérifiez que les exploitations de ces actifs par les véhicules juridiques sont saines (i.e. Analyse des cyber-risques et conséquences économiques, notamment avec notre indicateur clé, analyse des incidences géostratégiques).
Planifiez la valorisation de ces actifs (i.e. commerciale dans le véhicule acquis, par démantèlement, par commerce parallèle sur des concessions et vente de flux de données).
Les sociétés présentent dans le Next40, le FT120 et dépendant de la BPI France sont aujourd’hui à haut risque, pour la plupart. Tout l’enrobage marketing propulsé par les administrations n’a cependant pas terrassé le bon sens terrien. Pas pour ceux ayant connu la précarité ou étant issus de nations ayant pris leur revanche sur l'Histoire ces dernières décennies.
Dans la grande braderie qui va commencer et qui touchera le secteur de l’innovation stratégique (et souverain), pensez à considérer la Due diligence sous la férule des règles du capitalisme digital autant que du capitalisme industriel. C'est ainsi que vous pourrez réellement planifier et garantir votre portefeuille.
Nous pouvons vous accompagner dans ces nouvelles pratiques, chasser les pépites et piloter les négociations pour réaliser le meilleur effet de levier. Mais surtout, nous pouvons éviter que les marges soient mises en danger à cause de quelques défaillances ou excès de zèle marketing autour des projets visés.
Cybergouvernance : La performance financière par la maîtrise des informations
- Une fois ces éléments connus (i.e. Due diligence, KPI, audits), nous pouvons parler du pilotage des résultats financiers et travailler réellement à la performance de l'EBITDA.
Sur combien d’autres points la maîtrise des informations tient elle du mythe ? Comment piloter réellement la performance financière dans une économie digitalisée sans avoir soigneusement digitalisé l’économie ? L’organisation en silos, les intérêts individuels et la non digitalisation sont la véritable menace de l’investissement. Réaliser une Cybergouvernance efficace repose sur quelques règles clés, inspirées notamment des bonnes pratiques eurasiennes et américaines.