Q. Comment s'est passé le salon I'exposition pour vous ?
R. Pour notre première fois en tant qu'exposant, nous pouvons dire que c'est un succès. Nous avons rencontré de nombreuses entreprises (60) pendant ces trois jours et nous leur avons consacré en moyenne 10/15 mn à chaque fois, parfois plus. Le temps de nous présenter, mais surtout le temps d'établir un début d'échange. En écoutant leur besoin.
Q. Quel type d'acteurs avez vous rencontré ?
R. Nous avons rencontré des grands groupes bien sûr, mais aussi quelques grès grosses ETI et beaucoup de consultants indépendants évoluant dans le domaine de l'innovation.
Q. Que pouvez vous nous dire sur le marché des serious games ?
R. Le marché des serious games est jeune, malgré le fait qu'en dix ans il ait déjà connu de nombreuses évolutions. Il se cherche encore. Les modèles économiques sont divers. Jeu de plateaux, jeux vidéo, jeux immersifs, réalité augmentée. La gammification en général a le vent en poupe et nous pensons que la France a une carte à jouer. Sur notre territoire, nous contribuons à faire de Grenoble une place incontournable à l'échelle mondiale du jeu sérieux et de l'innovation. Grenoble Ecole de Management est un des acteurs des plus actif dans le domaine.
Q. Quels conseils donneriez-vous à une entreprise qui souhaite avoir son jeu sérieux ?
R. Pour jouer dans la cour des grands et avoir « son serious game », il faut avoir un véritable engagement et bien avoir identifié ses besoins. Car créer un sérious game, demande du temps, c'est long et chronophage. Et par voie de conséquence demande un budget. A défaut, il existe déjà des jeux répondant à des besoins qui peuvent être utilisés, adaptés. Créer ex-nihilo un jeu n'est pas forcément la bonne stratégie. Enfin une fois le jeu conçu, il faut que l'entreprise se l'approprie, le diffuse auprès des ses salariés pour ne pas qu'il reste sur une étagère. Organiser des sessions, évangéliser, convaincre est tout aussi important que l'acte de création.
Q. Si nous devions retenir une phrase :
R. « Le jeu forme l'individu et le groupe ».
Q. Serez vous l'an prochain à I'exposition ?
R. Bien sûr, nous allons travailler tout au long de cette année et l'an prochain à notre visibilité, continuer à évangéliser. Nous espérons pouvoir organiser des ateliers, des conférences et des démos sur notre stand.
R. Pour notre première fois en tant qu'exposant, nous pouvons dire que c'est un succès. Nous avons rencontré de nombreuses entreprises (60) pendant ces trois jours et nous leur avons consacré en moyenne 10/15 mn à chaque fois, parfois plus. Le temps de nous présenter, mais surtout le temps d'établir un début d'échange. En écoutant leur besoin.
Q. Quel type d'acteurs avez vous rencontré ?
R. Nous avons rencontré des grands groupes bien sûr, mais aussi quelques grès grosses ETI et beaucoup de consultants indépendants évoluant dans le domaine de l'innovation.
Q. Que pouvez vous nous dire sur le marché des serious games ?
R. Le marché des serious games est jeune, malgré le fait qu'en dix ans il ait déjà connu de nombreuses évolutions. Il se cherche encore. Les modèles économiques sont divers. Jeu de plateaux, jeux vidéo, jeux immersifs, réalité augmentée. La gammification en général a le vent en poupe et nous pensons que la France a une carte à jouer. Sur notre territoire, nous contribuons à faire de Grenoble une place incontournable à l'échelle mondiale du jeu sérieux et de l'innovation. Grenoble Ecole de Management est un des acteurs des plus actif dans le domaine.
Q. Quels conseils donneriez-vous à une entreprise qui souhaite avoir son jeu sérieux ?
R. Pour jouer dans la cour des grands et avoir « son serious game », il faut avoir un véritable engagement et bien avoir identifié ses besoins. Car créer un sérious game, demande du temps, c'est long et chronophage. Et par voie de conséquence demande un budget. A défaut, il existe déjà des jeux répondant à des besoins qui peuvent être utilisés, adaptés. Créer ex-nihilo un jeu n'est pas forcément la bonne stratégie. Enfin une fois le jeu conçu, il faut que l'entreprise se l'approprie, le diffuse auprès des ses salariés pour ne pas qu'il reste sur une étagère. Organiser des sessions, évangéliser, convaincre est tout aussi important que l'acte de création.
Q. Si nous devions retenir une phrase :
R. « Le jeu forme l'individu et le groupe ».
Q. Serez vous l'an prochain à I'exposition ?
R. Bien sûr, nous allons travailler tout au long de cette année et l'an prochain à notre visibilité, continuer à évangéliser. Nous espérons pouvoir organiser des ateliers, des conférences et des démos sur notre stand.