Cette année encore, le classement de Shanghai est dominé par les États-Unis : l’édition 2017 comprend 135 universités américaines dans son top 500 et 48 font même partie des 100 meilleures universités au monde, soit près de la moitié.
Difficile pour la France de briller face à un tel concurrent, d’autant plus que l’Université Pierre et Marie Curie (Paris 6) perd une place par rapport à l’année dernière. La première des universités françaises doit donc se contenter du 40ème rang. Néanmoins, l’Hexagone compte deux autres établissements parmi les 100 premiers – l’Université de Paris-Sud et l’École Normale Supérieure – et au total 20 dans le top 500, lui permettant d’être le 6ème pays le mieux pourvu.
Mais nombreux sont les pays qui ne sont pas représentés à ce classement ou bien qui ne voient qu’une seule de leurs universités y figurer, à l’instar de l’Argentine ou de l’Inde.
Difficile pour la France de briller face à un tel concurrent, d’autant plus que l’Université Pierre et Marie Curie (Paris 6) perd une place par rapport à l’année dernière. La première des universités françaises doit donc se contenter du 40ème rang. Néanmoins, l’Hexagone compte deux autres établissements parmi les 100 premiers – l’Université de Paris-Sud et l’École Normale Supérieure – et au total 20 dans le top 500, lui permettant d’être le 6ème pays le mieux pourvu.
Mais nombreux sont les pays qui ne sont pas représentés à ce classement ou bien qui ne voient qu’une seule de leurs universités y figurer, à l’instar de l’Argentine ou de l’Inde.