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PartagerConférence « IA & sémantique pour l’exploitation de vos données textuelles » - Editeur QWAM -
Depuis sa création en 2007, l’éditeur français QWAM accompagne les entreprises et organisations dans la valorisation et l’analyse des données textuelles externes (web, réseaux sociaux, etc.) et internes (rapports, études, etc.).
QWAM propose 3 lignes de produits :
Ask’n’Read effectue la veille et l’analyse du Web de façon personnalisée et ainsi remonte des contenus Web tout en gérant la pertinence des informations par un système de tagging automatique sur la base de mots clés.
QWAM Data Web lancé il y a quelques mois, peut agréger des informations issues du Web et par exemple en rechercher sur toutes les sources d’une provenance donnée.
QWAM supporte plusieurs langues dont le français, l’anglais, l’espagnol, le portugais, l’italien, le chinois, l’arabe, etc.
QWAM propose 3 lignes de produits :
- QWAM Text Analytics, outil d’analyse des données textuelles, basé sur la sémantique, le NLP (traitement du langage naturel) et l’intelligence artificielle
- Ask’n’Read avec Web Monitor, outil de veille avec la surveillance, la détection et l’extraction d’informations sur le Web et les réseaux sociaux
- QWAM QES InfoMedia Suite, un moteur de recherche contextuel pour partager des données textuelles et contenus métier
A l’issue des analyses, les restitutions peuvent être exploitées sous forme de tableaux de bord, exportées, transmises à des applications tierces ou bien intégrées à la solution de veille de QWAM.
Ask’n’Read effectue la veille et l’analyse du Web de façon personnalisée et ainsi remonte des contenus Web tout en gérant la pertinence des informations par un système de tagging automatique sur la base de mots clés.
Ask’n’Read (avec le module Web Monitor) effectue la veille et l’analyse Web de façon modulable et par exemple permet de constituer des résumés de documents longs.
QWAM Data Web lancé il y a quelques mois, peut agréger des informations issues du Web et par exemple en rechercher sur toutes les sources d’une provenance donnée.
QWAM supporte plusieurs langues dont le français, l’anglais, l’espagnol, le portugais, l’italien, le chinois, l’arabe, etc.
En synthèse, QWAM peut traiter de gros volumes de données textuelles. Il assiste les équipes de veille souvent peu outillées, qui travaillent avec peu de sources de données en leur faisant découvrir de nouvelles sources, tout en sachant gérer la duplication des données pour ne délivrer que l’information utile.
Conférence « Transversalité & IA : 2 maitres mots pour la veille dans les TPE, PME et PMI » - Editeur KB Crawl -
Depuis son lancement en 2002, l’éditeur français KB Crawl propose des solutions de veille et d’intelligence économique.
Dans un environnement en constante mutation (technologique, sectorielle et réglementaire), avec une internationalisation accrue des échanges, une concurrence exacerbée, des partenaires exigeants et des clients de plus en plus versatiles, connaitre et maîtriser les informations échangées sur son secteur et réparties sur de multiples sources de données (réseaux sociaux, blogs etc.) est devenu pour les entreprises un avantage compétitif.
De nombreux acteurs de l’entreprise sont concernés par la veille :
- Les dirigeants pour affiner leur stratégie, anticiper les actions à venir et maitriser leur budget
- Le service marketing et communication pour surveiller le marché et ses acteurs, contrôler son e-reputation et faire évoluer son offre
- Le service juridique pour se mettre en conformité face aux évolutions réglementaires
- La R&D pour détecter les nouvelles tendances et signaux faibles, surveiller les brevets
Le cycle de la veille se décompose en 4 étapes :
- La collecte de l’information : identifier les sources de données, vérifier la pertinence de l’information en fonction de critères, juger de la qualité des données (par rapport à la construction du site, son niveau de référencement, les avis qui y sont laissés, le nombre d’articles etc.)
- Le traitement de l’information et la reconnaissance des données : transformer, découper et analyser automatiquement les métadonnées pour une utilisation uniforme, reconnaitre les entités nommées par l’analyse sémantique de métadonnées spécifiques.
- L’analyse de l’information : révéler de nouveaux éléments clés (ex : nouveaux concepts) en fonction du contexte, classer automatiquement des tags en fonction du comportement des veilleurs.
- La diffusion de l’information : valider l’information par apprentissage (machine learning), améliorer le ciblage des contenus pertinents, mettre en évidence les signaux faibles, et par l’analyse prédictive identifier plus aisément les futures tendances du marché (consommation, innovation, réglementation etc.).
Le cycle de veille doit déboucher sur un plan d’action.
Les impacts de la veille sur l’organisation sont multiples :
- Rester informé et rationaliser l’information : gérer les sources croissantes d’informations, identifier les signaux faibles, veiller de façon exhaustive
- Mieux collaborer dans l’entreprise : partager l’information, créer des synergies, casser les silos
- Gagner du temps et faciliter la prise de décision : informer en temps réel, identifier les tendances, analyser un gros corpus de documents
Dans un environnement en constante mutation (technologique, sectorielle et réglementaire), avec une internationalisation accrue des échanges, une concurrence exacerbée, des partenaires exigeants et des clients de plus en plus versatiles, connaitre et maîtriser les informations échangées sur son secteur et réparties sur de multiples sources de données (réseaux sociaux, blogs etc.) est devenu pour les entreprises un avantage compétitif.
De nombreux acteurs de l’entreprise sont concernés par la veille :
- Les dirigeants pour affiner leur stratégie, anticiper les actions à venir et maitriser leur budget
- Le service marketing et communication pour surveiller le marché et ses acteurs, contrôler son e-reputation et faire évoluer son offre
- Le service juridique pour se mettre en conformité face aux évolutions réglementaires
- La R&D pour détecter les nouvelles tendances et signaux faibles, surveiller les brevets
Le cycle de la veille se décompose en 4 étapes :
- La collecte de l’information : identifier les sources de données, vérifier la pertinence de l’information en fonction de critères, juger de la qualité des données (par rapport à la construction du site, son niveau de référencement, les avis qui y sont laissés, le nombre d’articles etc.)
- Le traitement de l’information et la reconnaissance des données : transformer, découper et analyser automatiquement les métadonnées pour une utilisation uniforme, reconnaitre les entités nommées par l’analyse sémantique de métadonnées spécifiques.
- L’analyse de l’information : révéler de nouveaux éléments clés (ex : nouveaux concepts) en fonction du contexte, classer automatiquement des tags en fonction du comportement des veilleurs.
- La diffusion de l’information : valider l’information par apprentissage (machine learning), améliorer le ciblage des contenus pertinents, mettre en évidence les signaux faibles, et par l’analyse prédictive identifier plus aisément les futures tendances du marché (consommation, innovation, réglementation etc.).
Le cycle de veille doit déboucher sur un plan d’action.
Les impacts de la veille sur l’organisation sont multiples :
- Rester informé et rationaliser l’information : gérer les sources croissantes d’informations, identifier les signaux faibles, veiller de façon exhaustive
- Mieux collaborer dans l’entreprise : partager l’information, créer des synergies, casser les silos
- Gagner du temps et faciliter la prise de décision : informer en temps réel, identifier les tendances, analyser un gros corpus de documents
En synthèse, l’intelligence économique s’est imposée face à un environnement qui se complexifie pour les entreprises et organisations. Les outils de veille sont là pour faire gagner du temps aux entreprises et les aider à orienter leur stratégie.
Conférence « Nouveau module d’IA et de recommandation pour la solution Mytwip » - Editeur Coexel
Fondé en 2007, l’éditeur français Coexel spécialisé en intelligence économique propose des solutions et services de veille technologique et stratégique pour les secteurs à forte technicité tels que l'aéronautique, la défense, les télécommunications, l'énergie, la santé, l'environnement, l’agro-alimentaire, l’agro-industrie et les fintechs.
La solution de veille stratégique Mytwip couvre :
La solution de veille stratégique Mytwip couvre :
- La collecte d’informations sur la base de mots clés et de connecteurs aux sources de données
- L’analyse des informations depuis une interface Web ou une application mobile
- La diffusion des résultats par le biais d’alertes, de news letters ou depuis une interface de consultation
- Le suivi à l’aide de tableaux de bord
- La veille collaborative avec des répertoires partagés, un worflow entre experts, un espace pour les lecteurs et une interface Web
- La veille augmentée avec l’affectation automatique de tags, la gestion de thésaurus et d’ontologie, la représentation visuelle (mind mapping)
- Un algorithme « topic modeling » qui permet d’effectuer une analyse comparative de documents et de segmenter des sujets. Il est ainsi possible de voir l’évolution d’une thématique dans le temps, de caractériser une thématique par mots clés spécifiques, de recommander des documents similaires ou encore des mots clés.
- Un module de recommandation en option. A partir de données en entrée (informations collectées sur une thématique, sous-ensemble d’informations sélectionnées), on peut restituer sur une période de temps les sujets abordés, les mots clés (occurrences) et recommander des documents ou sources d’informations.
En synthèse, Coexel couvre la collecte de données hétérogènes multi-sources (Web, réseaux sociaux, bases de données, emails, etc.), un workflow de validation et d’enrichissement, la diffusion des résultats en externe (réseaux sociaux, newsletters, alertes) ou interne (espace lecteur), l’accès en mobilité (Android, Apple) depuis tout type de navigateur, l’analyse statistique, sémantique et géographique, la génération de tableaux de bord.
Conférence « Nouveau panorama des plates-formes de veille » - Réseau de veille des services du 1er Ministre
Le réseau de veille des services du 1er ministre a souhaité examiner le marché de la veille par le biais d’une enquête menée en 2021 qui visait à interroger d’une part les éditeurs d’outils de veille et d’autre part des personnes issues des métiers de veille. 23 éditeurs ont répondu et 70 veilleurs ont participé. L’enquête comportait 120 questions.
A l’issue du dépouillement de l’enquête, ayant récolté un nombre significatif d’informations, ce service de veille a décidé d’en publier les résultats afin de les partager.
Les axes d’analyse des offres de veille étaient :
- La collecte et la veille
- Les sources surveillées
- Les fonctions collaboratives
- La consultation, la recherche et la capitalisation
- La diffusion
- L’intelligence artificielle et les analyses textuelles
- L’administration
- La maintenance et la sécurité
- La formation
Parmi les offres, on distingue :
- Les plateformes intégrées et collaboratives
- Les solutions de veille de niche
- Les solutions exploratoires de fouilles du Web
- Les solutions dédiées à la veille médiatique
- Les plateformes spécialisées dans la veille des media sociaux.
Toutes sont examinées dans l’enquête selon les axes d’analyse précédemment définis.
Concernant le coût moyen, ces solutions ne sont pas onéreuses. Le tarif dépend surtout de la diversité de sources que l’outil est en mesure d’accéder. La première année, le coût est en moyenne de 45k€ incluant la conduite de projet, les tests, la formation et l’acquisition de la plateforme.
Au-delà, il faut compter un peu plus de 38k€ par an.
Les freins à la veille collaborative sont :
- Le manque de temps (33%),
- Le manque de ressources humaines, une faible maitrise des technologies, des cultures numériques et de la veille (12%)
- Les questions de coûts et moyens financiers (12%)
A l’issue du dépouillement de l’enquête, ayant récolté un nombre significatif d’informations, ce service de veille a décidé d’en publier les résultats afin de les partager.
Les axes d’analyse des offres de veille étaient :
- La collecte et la veille
- Les sources surveillées
- Les fonctions collaboratives
- La consultation, la recherche et la capitalisation
- La diffusion
- L’intelligence artificielle et les analyses textuelles
- L’administration
- La maintenance et la sécurité
- La formation
Parmi les offres, on distingue :
- Les plateformes intégrées et collaboratives
- Les solutions de veille de niche
- Les solutions exploratoires de fouilles du Web
- Les solutions dédiées à la veille médiatique
- Les plateformes spécialisées dans la veille des media sociaux.
Toutes sont examinées dans l’enquête selon les axes d’analyse précédemment définis.
- REPONSES DES EDITEURS :
Les effectifs des éditeurs d’outils de veille sont le plus souvent faibles (moins de 50 salariés).
Le CA des éditeurs d’outils de veille interrogés varie entre 925 000€ et 23M€.
Le secteur de la veille est fait de passionnés mais n’a pas encore atteint ses objectifs en termes de résultats.
Concernant le coût moyen, ces solutions ne sont pas onéreuses. Le tarif dépend surtout de la diversité de sources que l’outil est en mesure d’accéder. La première année, le coût est en moyenne de 45k€ incluant la conduite de projet, les tests, la formation et l’acquisition de la plateforme.
Au-delà, il faut compter un peu plus de 38k€ par an.
- REPONSES DES VEILLEURS :
Les moyens de diffusion de la veille sont : les news letters (76%), les emails d’alertes (57%), le CMS Content Management System ou l’Intranet (27%).
La perception du métier de veille : pour 30% ce métier est qualifié de stratégique et est reconnu, en revanche pour 32% il est perçu comme non vital, non reconnu, sans réels moyens.
Les lacunes et axes d’amélioration des outils de veille
Parmi les lacunes mentionnées sur les outils, on peut citer : les statistiques de consultation, les fonctions collaboratives, la surveillance des réseaux sociaux. Parmi les axes d’amélioration des outils, on mentionnera : l’analyse et la data visualisation, le prix et le modèle économique, la diffusion ergonomique des livrables. Le niveau d’interaction des communautés de veille est jugé fort pour 7,9%, moyen pour 36,5%, faible pour 55,6%.
Les freins à la veille collaborative sont :
- Le manque de temps (33%),
- Le manque de ressources humaines, une faible maitrise des technologies, des cultures numériques et de la veille (12%)
- Les questions de coûts et moyens financiers (12%)
En synthèse :
Avant de s’équiper d’outils payants, il est préférable de se former avec des outils gratuits.
A l’issue de ces tests, si des besoins ont été bien identifiés, on adoptera un outil plus sophistiqué .
L'AVIS DE L'ANALYSTE
La veille reste à ce jour un secteur de niche si l’on en juge par la taille et les résultats des éditeurs « pure players » du domaine.
Cependant, l’activité de veille a bien résisté à la crise sanitaire liée au Covid et en a même révélé l’aspect stratégique en période d’incertitude, y compris pour des secteurs fortement impactés comme l’aéronautique. En effet, les entreprises et organisations ne parviennent pas toujours à suivre leur marché par manque de temps, de sources d’informations sûres et de ressources pour le faire. Dans un contexte où la concurrence se fait rude, où les informations se multiplient mais ne sont pas toujours cohérentes, des outils pour repérer les sites de sources d’informations fiables et pertinentes sont très utiles aux entreprises pour suivre leur marché, repérer les nouveaux entrants, détecter les signaux faibles, analyser les tendances.
Non que ces outils remplacent les personnes en charge de la veille mais ils permettent avec l’intelligence artificielle de proposer une veille augmentée : surveiller, détecter et analyser des gros volumes d’informations n’est possible que par des algorithmes de machine learning qui apprennent d’un usage régulier. Ainsi, ces outils permettent de mesurer le niveau de confiance à accorder aux sources, de pousser du contenu qualifié et pertinent par rapport aux sujets d’intérêt du veilleur.
Cependant, l’activité de veille a bien résisté à la crise sanitaire liée au Covid et en a même révélé l’aspect stratégique en période d’incertitude, y compris pour des secteurs fortement impactés comme l’aéronautique. En effet, les entreprises et organisations ne parviennent pas toujours à suivre leur marché par manque de temps, de sources d’informations sûres et de ressources pour le faire. Dans un contexte où la concurrence se fait rude, où les informations se multiplient mais ne sont pas toujours cohérentes, des outils pour repérer les sites de sources d’informations fiables et pertinentes sont très utiles aux entreprises pour suivre leur marché, repérer les nouveaux entrants, détecter les signaux faibles, analyser les tendances.
Non que ces outils remplacent les personnes en charge de la veille mais ils permettent avec l’intelligence artificielle de proposer une veille augmentée : surveiller, détecter et analyser des gros volumes d’informations n’est possible que par des algorithmes de machine learning qui apprennent d’un usage régulier. Ainsi, ces outils permettent de mesurer le niveau de confiance à accorder aux sources, de pousser du contenu qualifié et pertinent par rapport aux sujets d’intérêt du veilleur.
