Les startups vecteurs d’innovations de ruptures ?
Cette étude vise avant tout à répondre à plusieurs questions. Les startups sont-elles les seules vecteurs d’innovations de rupture ?
C’est une interrogation qui a été le moteur initial du travail, mais la richesse des données fournies par l’OST a permis d’élargir le débat bien au-delà le champ d’interrogation. Où naît cette innovation de rupture ? Géographiquement, institutionnellement ? Technologiquement ?
Ce vaste champs de questionnement a été prolifique en terme de réponses. Plusieurs domaines scientifiques ont été identifiés, 12 exactement. Pour arriver à cette identification, il a fallu cependant harmoniser les méthodes et les indicateurs afin d’écarter les pays ayant des stratégies de protection de marché sans réel valeur d’innovation, comme La Chine ou les USA le pratiquent. L’étude des base de brevets souligne la domination d’une poignée de pays : la Chine, les Etats-Unis, la Corée du Sud, notamment.
Sans battre sa coulpe, on remarque que la baisse du nombre de dépôt de brevets est en Europe une tendance générale et non spécifique à la France. Une consolation ? Ce recul n’a toutefois pas été sans conséquences, il s’est accompagné d’un recul des parts de marché de la présence européenne au profit de concurrents comme la Chine.
Pour les auteurs de l’étude le positionnement de la France peut s’expliquer par la cohérence entre le PIB et le positionnement stratégique. La France se situe au 7e rang du PIB mondial et au 7e rang du positionnement technologique, derrière les USA, la Chine, le Japon et l’Allemagne qui trustent les quatre premières place.
C’est une interrogation qui a été le moteur initial du travail, mais la richesse des données fournies par l’OST a permis d’élargir le débat bien au-delà le champ d’interrogation. Où naît cette innovation de rupture ? Géographiquement, institutionnellement ? Technologiquement ?
Ce vaste champs de questionnement a été prolifique en terme de réponses. Plusieurs domaines scientifiques ont été identifiés, 12 exactement. Pour arriver à cette identification, il a fallu cependant harmoniser les méthodes et les indicateurs afin d’écarter les pays ayant des stratégies de protection de marché sans réel valeur d’innovation, comme La Chine ou les USA le pratiquent. L’étude des base de brevets souligne la domination d’une poignée de pays : la Chine, les Etats-Unis, la Corée du Sud, notamment.
Sans battre sa coulpe, on remarque que la baisse du nombre de dépôt de brevets est en Europe une tendance générale et non spécifique à la France. Une consolation ? Ce recul n’a toutefois pas été sans conséquences, il s’est accompagné d’un recul des parts de marché de la présence européenne au profit de concurrents comme la Chine.
Pour les auteurs de l’étude le positionnement de la France peut s’expliquer par la cohérence entre le PIB et le positionnement stratégique. La France se situe au 7e rang du PIB mondial et au 7e rang du positionnement technologique, derrière les USA, la Chine, le Japon et l’Allemagne qui trustent les quatre premières place.
La recherche Publique un élément clé d’innovation ?
Un autre aspect mis en valeur par l’étude est le poids de la recherche publique en France, un sujet très polémique. Les chiffres de cette étude confirme que les performances de la recherche publique sont plutôt bonnes et qu’elle n’a pas à rougir au niveau mondial. La recherche coréenne, pour citer un autre pays est mieux classé.
A contrario, lorsque la recherche publique est absente, on peut déplorer l’absence des grands groupes dans des domaines de la recherche et que cela se fasse au profit de grands groupes étrangers.
A contrario, lorsque la recherche publique est absente, on peut déplorer l’absence des grands groupes dans des domaines de la recherche et que cela se fasse au profit de grands groupes étrangers.
A retenir :
En conclusion, ce qu’on peut dire sur la base de ces résultats, c’est qu’il y a un désalignement entre les ambitions des pays européens sur le plan technologique, sur le plan environnemental et leur manque de leadership en la matière. La France semble plus engagée dans la bataille technologique, on a des résultats qui sont plus encourageants à l’échelle de l’Union européenne.